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Quelques remarques sur la modestie féminine…

par | Mar 12, 2014 | Vie chrétienne

2005-dessin-de-mode-h« Si un pasteur reste muet en voyant Dieu outragé et les âmes s’égarer, malheur à lui ! S’il ne veut pas se damner, il faut que, s’il y a quelques désordres dans sa paroisse, il foule aux pieds le respect humain et la crainte d’être méprisé ou haï de ses paroissiens ; et serait-il sûr d’être mis à mort après être descendu de chaire, cela ne doit pas l’arrêter. » (Le Curé d’Ars, 21e Dim. Ap. Pent.)

« Le respect humain concerne les chrétiens sincères mais lâches. Le respect humain est la honte de remplir ses devoirs de religion à cause du monde, c’est un mépris de Dieu et de ses grâces qui manifeste un aveuglement de l’âme. […] Si vous craigniez le monde, il ne fallait pas vous faire chrétien. Si vous craignez le monde, eh bien ! Renoncez à votre baptême et donnez-vous à ce monde à qui vous craignez tant de déplaire. » (Le Curé d’Ars, 2e Dim. De l’Avent)

« Le déshabillé des modes actuelles constitue un déshonneur pour la femme, une tentation pour l’homme et offense le Seigneur. […] L’usage de certains vêtements a aujourd’hui pour fonction de déshabiller la femme et la jeune fille et de faire ressortir sa nudité. […]. C’est parce que ces femmes n’ont plus le sens de la pureté, se considèrent sans respect et acceptent leur profanation qu’elles se laissent entraîner par des modes honteuses. […] Qu’elles prennent conscience qu’elles sont sacrées et que le vêtement est chose sacrée, alors seulement elles cesseront de faire comme tout le monde. » (R.-Th. Calmel, O.P)

« Une robe qui ne couvre pas les genoux de la personne en position assise est indécente et ne peut en aucune manière être permise. » (Bulletin Officiel du District de France  n° 181, mars 2004).

 

« C’est par charité que Nous luttons contre le laminage du genre humain, contre l’écrasement produit par l’effacement des différences qui sont au fondement de l’équilibre de l’humanité. […] Quand on voit une femme en pantalon, ce n’est pas uniquement à telle personne qui s’habille de manière indigne qu’il faut penser, mais à l’humanité tout entière qui va vers un chaos qui sera atteint quand les femmes seront totalement assimilées aux hommes. Personne n’a intérêt à prêter la main à l’élaboration d’un avenir où régneront l’indéfini, l’ambigu, l’incomplet et, en définitive, le monstrueux. » (Le cardinal Siri, archevêque de Gênes, « Avertissement à propos du vêtement masculin porté par les femmes » à son diocèse et à son clergé, le 12 juin 1960)

 

« Tant que certaines toilettes provocantes demeurent le triste privilège de femmes de réputation douteuse et comme le signe qui les fait reconnaître, on n’osera pas les adopter pour soi. Mais le jour où ces toilettes apparaissent portées par des personnes au-dessus de tout soupçon, on n’hésitera plus à suivre le courant, un courant qui entraînera peut-être aux pires chutes. » (Pie XII aux jeunes filles de l’Action catholique de Rome, 22 mai 1941)

 

« La courtisane est un métier qui tend à disparaître, car la liberté qu’on accorde aux jeunes filles et, d’autre part, la mauvaise tenue des femmes du monde, lui font une terrible concurrence ! » (Sacha Guitry, Les Femmes et l’Amour, p. 42)

« Dieu ne vous demande point de vivre en dehors de votre temps, de rester indifférentes aux exigences de la mode au point de vous rendre ridicules en vous habillant à l’encontre des goûts et des usages communs de vos contemporaines, sans vous préoccuper jamais de ce qui leur plaît. […] Dans l’attitude à observer à l’égard de la mode, la vertu tient le juste milieu. Ce que Dieu vous demande est de vous souvenir toujours que la mode n’est pas ni ne peut être la règle suprême de votre conduite, qu’au-dessus de la mode et de ses exigences, il y a des lois plus hautes et impérieuses, des principes supérieurs et immuables qui, en aucun cas, ne peuvent être sacrifiés au gré du plaisir, ou du caprice et devant lesquels l’idole de la mode doit savoir abaisser sa fugitive toute-puissance. Ces principes ont été proclamés par Dieu, par l’Eglise, par les saints et les saintes, par la raison et par la morale chrétienne. » (Pie XII, Aux jeunes filles de l’Action catholique de Rome. (22 mai 1941)