« Les Juifs secrets sont pires et plus dangereux que les autres… Ne te fie jamais à quelque Juif que ce soit, encore qu’il te semble être ami. » (R. P. Philippe de la Très-Sainte-Trinité, Voyage d’Orient, Livre VI, ch. 8.)

Avant de citer un extrait de l’œuvre de R. P. Philippe de la Très-Sainte-Trinité (1603-1671), donnons quelques brefs repères chronologiques.

Esprit Julien, celui qui sera un des religieux les plus en vue du Carmel thérésien au XVIIe siècle, naquit, en 1603, dans le Comtat Venaissin, alors appartenant aux États pontificaux (aujourd’hui département du Vaucluse). Aîné d’une famille catholique, il fit ses études aux collèges des Pères Jésuites à Avignon et Carpentras. Il revêtit l’habit du Carmel réformé au couvent de Lyon en 1620, et reçut le nom de Philippe de la Très-Sainte-Trinité. Il émit ses vœux de religion le 8 septembre 1621, âgé de 18 ans. Ayant achevé son second noviciat, il fut envoyé à Paris en 1622 pour y étudier successivement la philosophie et la théologie. En 1626, ses supérieurs l’envoyèrent à Rome pour se préparer à la vie missionnaire. Le 8 février 1629, le Pape Urbain VIII l’envoie en Perse en compagnie des PP. Épiphane de St-Jean-Baptiste et Ignace de Jésus.

Après un long voyage en bateau, à cheval ou à dos de chameau, il arrive le 15 juillet 1630 au couvent de Bassora. Là, il reçoit l’ordre d’aller enseigner la philosophie à Goa. Parti début octobre 1631, il parvient fin novembre au couvent de Goa, et y restera huit ans. En 1639, il retourne en Europe pour porter devant les SS. Congrégations de la Propagande et des Rites le procès du martyre du P. Denys de la Nativité et de son compagnon le Fr. Rédempt de la Croix. En route, il en profite pour visiter quelques lieux de la Terre Sainte, entre autres Nazareth, le mont Thabor et le mont Carmel… Arrivé à Marseille vers la fin de février 1641, il se rendit sans tarder à Rome pour y travailler à la cause de béatification des deux martyrs Carmes déchaussés. De retour au couvent de Marseille, il fut presque aussitôt nommé lecteur de théologie à Lyon. C’est là qu’il commença la rédaction de ses nombreux ouvrages.

A partir du chapitre provincial de 1643, il remplit, presque sans interruption, des charges de supérieur soit dans sa province d’Avignon, soit à la maison généralice, pour finir Préposé Général de 1665 jusqu’à sa mort qui survint à peine deux mois avant la fin de son généralat en 1671.

De nature « rude et austère », il s’efforça constamment à la pratique des vertus et exigea de ses religieux des efforts continuels. En formation, il n’« étudiait pas tant les sciences profanes… que la science des Saints », « il ne s’attachait pas si fort à la science qu’à la pratique de la vertu n’omettant rien de ce que sa règle et les constitutions prescrivent et même étant très fidèle aux moindres coutumes. » Ces contemporains le décrivent comme vivant continuellement en présence de Dieu. Son oraison « était aussi continuelle et jamais [il] n’ouvrait ses livres pour étudier qu’il n’eut devant ses yeux son crucifix; c’est de là qu’il a puisé toutes les lumières dont il a fait participant le public par le moyen de ses livres ».

Nous ne parlerons pas aujourd’hui de son Commentaire de la Somme théologique de Saint Thomas (1650), ni de sa Somme de la théologie mystique (1656), ni de son Histoire de l’ordre carmélitain, ni de sa Chronologie générale du monde, ni de son Traité de la pénitence (1663), ni de son Apologie de l’ordre du Carmel (1665), ni de ses autres ouvrages mais nous voulons simplement extraire un chapitre d’un de ses livres pour lequel il est le plus connu encore de nos jours : Voyage d’Orient (1649). Il s’agit du chapitre 8, au Livre VIe, (pages 357-360 de l’édition de 1669) :

Des Juifs orientaux

L’on trouve des Juifs répandus par tout l’Orient, en nulle part maîtres, partout serviteurs, et non moins persécutés en Orient qu’en Occident ; afin qu’en punition du plus grand sacrilège qui ait été jamais commis par eux au cruel crucifiement de notre Seigneur Jésus-Christ, les prédictions des saints prophètes fussent accomplies, par lesquelles ils auraient été menacés, qu’ils seraient chassés du royaume de Judée, qu’ils seraient dispersés par tout le monde, qu’ils seraient sans roi, sans temple et sans sacrifice, et qu’ils endureraient quantité d’incommodités et de maux ; ce que nous voyons entièrement accompli en eux, puisqu’ils sont fort rares dans la Palestine, qu’à peine y en trouve-t-on, si ce n’est dans Hébron et dans Sephet, qu’ils sont comme étrangers et pèlerins parmi toutes les nations, et servent à tous de sujet de moquerie et de risée ; de sorte qu’il semble que toutes les créatures aient conspiré contre eux.

Les Juifs sont connus de tout le monde, et tout ce qu’ils devaient observer est exprimé dans l’Écriture sainte. Tous errent à présent, en ce qu’ils attendent le Messie futur, s’imaginant qu’il n’est pas encore venu ; c’est pourquoi ils observent encore les préceptes cérémonieux qui le prédisent. Il y a trois causes principales de cette erreur : la première est qu’ils interprètent à la lettre tous les passages de l’Écriture qui parlent du Messie, quoiqu’il y en ait plusieurs qui doivent être entendus mystiquement ; la deuxième est qu’ils confondent l’une et l’autre venue du Sauveur, si bien que ne voyant pas encore accompli ce qui se dit de la dernière, qui doit être glorieuse, ils nient la première qui a été humble ; enfin la troisième est leur malicieuse obstination et la haine pour ainsi dire, originelle qu’ils portent à Jésus-Christ ; car encore que l’on conclut évidemment des prophètes, que toutes les choses qui ont été promises du Messie sont accomplies en Jésus-Christ, ce que Pilate même remarqua, comme il parut dans la lettre qu’il écrivit à l’empereur Tibère, leur obstination néanmoins rejette tout cela, leur haine le pervertit, et leur rage en est venue à tel point, qu’il n’en a pas manqué d’assez méchants, pour dire qu’ils sont affligés de perpétuelles peines, pour ce qu’un d’entre eux (Jésus-Christ) s’est fait Dieu. Mais la fureur les aveugle si fort, qu’ils ne voient pas qu’ils seraient plutôt dignes de récompense que de châtiment ; puisque par un pur zèle de l’honneur divin, comme ils se l’imaginent, ils lui ont fait souffrir si cruellement le supplice de la Croix. D’où vient qu’il ne faut pas s’enorgueillir si les théologiens enseignent communément avec l’angélique docteur Saint Thomas, que la pieuse affection est nécessaire pour croire ; étant très vraie que la pieuse affection explique tout en bonne part, comme la haine ne donne que de sinistres interprétations aux meilleures choses.

Il y en a plusieurs qui demeurent en toute la Syrie, et surtout aux villes où le trafic est en vogue. En Alep ils se distinguent aisément des autres, portant une longue veste violette ou bleue, avec un bonnet de même couleur plus étroit à la cime. J’ai vu leur synagogue en la ville d’Anne au milieu de l’Arabie déserte. J’en ai vu aussi en l’Arabie heureuse dans les villes de Bassora et de Mascate, où j’ai ouï dire qu’ils vivaient de sauterelles frites. J’en ai vu en Perse dans la ville de Lara et bien d’autres. Enfin j’en ai vu presque en tous les pays où j’ai passé. De telle sorte que cette engeance de vipères, pour me servir des paroles du saint précurseur de Jésus-Christ, se trouve partout ; et ceux-ci sont les connus et judaïsent ouvertement.

Les Juifs secrets sont en très grand nombre aux Indes cachés parmi les Portugais, et par ce moyen sont pires et plus dangereux que les autres. Les Portugais disent que les Juifs chassés de l’Espagne se retirent au royaume de Portugal, et comme on ne leur permettait pas de judaïser publiquement, ils feignirent de se faire Chrétiens et vouloir être baptisés : mais les hypocrites et les séducteurs qu’ils sont, ils professent extérieurement la loi chrétienne et sont intérieurement des loups ravissants qui persécutent Jésus-Christ à la sourdine, enseignent à leur enfants la loi judaïque, et sont ainsi parvenus jusqu’à notre temps par une succession héréditaire. Ils sont connus des Portugais, et sont appelés communément Nouveaux Chrétiens, et par moquerie Chevaliers du mont Calvaire. Mais hélas ils nuisent plus étant cachés que s’ils étaient connus ; car après avoir été baptisés, étant tenus au nombre des chrétiens, il leur est permis de se marier avec des personnes vraiment chrétiennes, et comme tout obéit à l’argent les plus nobles même s’y mêlent. En suite de quoi les enfants qui naissent de ces mariages, soit que le seul père ou la seule mère soit tant soit peu infecté de sang juif, sont en cela pire que leurs parents. De sorte qu’en eux cette maxime de logique est très véritable : Que la conclusion suit toujours la partie la plus faible et la pire, et que si la vigilance de la sacrée Inquisition ne s’y opposait, en brûlant tous les ans plusieurs de ces misérables, cette peste se glisserait dans tous.

Celui qui aura assisté aux actes publics de la sacrée Inquisition, connaîtra combien grande est la haine qu’ils ont pour les Chrétiens. C’est là que l’on entend comme quoi des curés, qui auraient été tirés de parmi eux, n’ont jamais administré les Sacrements mais ont méchamment abusé ceux qui les recevaient. C’est là que l’on entend comme quoi les médecins ont tué les malades avec des remèdes empoisonnés : et pour tout dire en peu de paroles, c’est là qu’on entend, qu’il y en a quelques-uns qui ne passent pas un jour sans apporter quelque dommage aux Chrétiens, croyant qu’ils font en cela un grand service à Dieu. Je pourrais apporter sur ce sujet une infinité presque d’exemples, mais que celui-ci suffit pour tous.

J’ai lu dans un certain livre écrit en portugais, que lorsque les Juifs chassés d’Espagne se retiraient au Portugal, l’un d’eux pria un sien ami Chrétien de l’accompagner, pour sa sûreté, jusqu’aux confins de Castille. Le Chrétien lui rendit ce témoignage et ce devoir d’amitié, et lorsqu’ils furent sur le point de se séparer et que le Juif disait adieu à son ami, il conclut en ces termes : « Tu sais combien étroite a été notre amitié, tu sais que nous nous tenions tous deux comme frères. Or sache à présent que lorsque je te donnais de plus grands signes de bienveillance et d’amour, je te portais en mon cœur une haine mortelle. La vérité me force de te faire cette déclaration ; et en récompense de tant de bienfaits que j’ai reçus de toi, je te donne ce seul avis en ce moment que nous allons nous séparer. Ne te fie jamais à quelque Juif que ce soit, encore qu’il te semble être ami. » Ensuite de quoi lui ayant dit le dernier adieu, il s’en alla.

(Fin du chapitre 8)

Tu ne voteras point ! – par Olivier Rioult

« Si voter servait à quelque chose, il y a longtemps que ça serait interdit. »

Coluche

Olivier Rouot vient d’écrire un livre hautement politique et pleinement catholique. Et XB-éditeur en publiant ce livre fait œuvre d’utilité publique.

Il est urgent de faire lire ce livre aux imbéciles qui s’apprêtent à accomplir de basses œuvres dans l’ombre d’un isoloir… Selon le Littré, un « imbécile » est quelqu’un qui est « dépourvu d’esprit, qui parle, qui agit sottement. » Tel est aujourd’hui celui qui participe aux élections républicaines. La démocratie étant un mythe maçonnique et une crypto religion destructrice.

« Nous n’assistons pas à la fin naturelle d’une grande civilisation humaine, mais à la naissance d’une civilisation inhumaine qui ne saurait s’établir que grâce à une vaste, à une immense, à une universelle stérilisation des hautes valeurs de la vie. […] Ceux qui m’ont déjà fait l’honneur de me lire savent que je n’ai pas l’habitude de désigner sous le nom d’imbéciles les ignorants ou les simples. Bien au contraire. L’expérience m’a depuis longtemps démontré que l’imbécile n’est jamais simple, et très rarement ignorant. L’intellectuel devrait donc nous être, par définition, suspect ? Certainement. […] L’intellectuel est si souvent un imbécile que nous devrions toujours le tenir pour tel, jusqu’à ce qu’il nous ait prouvé le contraire. […] La Civilisation des Machines est la civilisation des techniciens, et dans l’ordre de la Technique un imbécile peut parvenir aux plus hauts grades sans cesser d’être imbécile, à cela près qu’il est plus ou moins décoré. La Civilisation des Machines est la civilisation de la quantité opposée à celle de la qualité. Les imbéciles y dominent donc par le nombre, ils y sont le nombre. »

Georges Bernanos, La France contre les Robots, Plon, 1970

Les “imbéciles” doivent lire le livre d’Olivier Rouot : ils comprendront que NE PAS VOTER est aujourd’hui l’acte politique le plus utile, le plus vertueux et le plus efficace pour combattre le monstrueux système totalitaire QUI se cache derrière l’imposture démocratique… NE PAS VOTER est donc le premier acte politique qu’il faut poser, mais non le seul évidement comme l’écrivent Olivier Rouot et sa préfacière Raphaëlle Auclert.

« Les moutons vont à l’abattoir. Ils ne disent rien. Ils n’espèrent rien. Mais du moins, ils ne votent pas pour le boucher qui les tuera et pour le bourgeois qui les mangera. Plus bête que les bêtes, plus moutonnier que les moutons, l’électeur nomme son boucher et choisit son bourgeois. Il a fait les révolutions pour conquérir ce droit… »

Octave Mirabeau, La grève des électeurs, 1888, Le Figaro

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La Clef des Écritures – Traité

Traité contre les juifs et les gentils qui rejettent, pour des motifs opposés mais en raison d’une même lecture charnelle, l’admirable harmonie de l’Ancien et du Nouveau Testament, de la lettre et de l’esprit, l’Ancien étant la prophétie du Nouveau et le Nouveau la réalisation de l’Ancien, et ce par une méconnaissance du Christ, l’unique clef des Saintes Écritures, qui seul donne la parfaite intelligence de l’histoire du salut de l’humanité.

Dans l’antiquité, ils s’appelaient Marcion, Celse, Manès, Fauste… De nos jours, ils se nomment Soral, Timmerman, Guyénot, Hindi, Soler, Römer, Finkelstein… Tous, pour diverses raisons, sont des détracteurs de l’Ancien Testament et rejettent son origine divine. La lecture partiale, grossière et charnelle qu’ils en font, même quand c’est pour la condamner, correspond en fait à la lecture pharisaïque codifiée par les talmudistes et assumée de manière mythique par les sionistes.

Malgré la différence de leurs principes, le sophisme philosophique et la superstition juive aboutissent aux mêmes conséquences : la négation de l’unité du plan divin. Les juifs soutiennent que le Christ n’a pas pu être annoncé par les prophètes de l’Ancienne Alliance au prétexte que l’Évangile qu’il a prêché contredisait leur Loi qui les obligeait de se séparer des non juifs. Et les hérétiques, eux, soutiennent que l’Évangile, la Bonne Nouvelle du salut pour tous les peuples sans distinction, ne peut avoir aucun rapport avec l’Ancienne Alliance puisqu’il a justement aboli le mur de séparation qu’était la loi juive.

L’Église catholique récuse ces interprétations erronées, qu’elles soient judaïques ou hérétiques. Pour les Pères, ces « ennemis des saintes Lettres montrent une égale ignorance de l’un et de l’autre Testament. » Car le mosaïsme bien compris, mais non sa trahison talmudique, n’a été que la préparation du christianisme. Tertullien, Origène, saint Irénée, saint Hilaire, saint Augustin et bien d’autres ont démontré contre les hérétiques la divinité de la loi mosaïque, et contre les juifs son abrogation ou son accomplissement. Là où les hérétiques imaginent une antithèse, il y a harmonie parfaite ; et là où les juifs rêvent d’un Messie à venir, ou plutôt de sa caricature tribale, il y a l’œuvre universelle et spirituelle du Christ, déjà réalisée comme annoncée par les prophéties.

Pour comprendre les Saintes Écritures, il faut donc dépasser l’intelligence de la lettre et en saisir l’esprit. « L’Écriture sainte, dit saint Grégoire le Grand, par la manière même dont elle s’exprime, dépasse toutes les sciences ; car, dans un seul et même discours, tout en racontant un fait, elle livre un mystère. » Adam, Abel, Noé, Abraham, Isaac, Jacob, Juda, Joseph, Moïse, la sortie d’Égypte, l’Alliance du Sinaï avec ses sacrifices et ses fêtes, Josué, David, Salomon, avec le temple et son grand prêtre, l’endurcissement même de Juda et la ruine de la nation-religion israélite, tout cela forme un seul et même grand mystère que ce Traité va dévoiler, pour la confusion des uns et l’instruction des autres. Les paroles de Dieu sont en effet “ esprit et vie” (Jn 6, 53). Or, “la lettre tue mais l’esprit vivifie” (II Cor 3, 6).

Vous pouvez commander en imprimant le bon de commande (PDF) ou en ligne sur la boutique des Éditions Saint Agobard

Le Covidisme dans la Révolution Mondiale et l’Apocalypse de saint Jean

La sapinière.info invite chaleureusement ses lecteurs à faire trois choses :

1. Premièrement de prendre le temps de visionner les judicieuses vidéos et analyses du brillant Boris le Lay :

La première sur l’imposture covidienne (https://rumble.com/vrnam1-covid22.html) & la seconde sur le discours du psychopathe de l’Élysée au service des Rothschild (https://rumble.com/vrzedt-great-reset-vous-ne-serez-plus-des-citoyens-mais-des-esclaves-macron.html)

2. Puis deuxièmement de lire, et de faire lire, la remarquable synthèse et le témoignage d’un Médecin généraliste, Serge Suline, dans son livre diffusé par CSRB-diffusion : Le Covidisme dans la Révolution Mondiale (https://csrb.fr/collections/csrb-diffusion/products/le-covidisme-dans-la-revolution-mondiale)

L’humanité est en train de vivre l’un de ses derniers combats qui est avant tout un combat entre Mammon et le Christ, entre la descendance du serpent et les enfants de Dieu. Le covidisme n’est qu’une supercherie des enfants des ténèbres. Emmanuel Macron, comme tant d’autres valets au ordre du système, a déclaré, au nom de ses vrais chefs et sous prétexte de crise sanitaire la guerre contre son peuple, afin d’accélérer la mise en place de la tyrannie mondiale et globaliste. Ce projet totalitaire et “transhumaniste” n’est que l’utopie luciférienne qui cherche à détruire, par le mensonge et le sang, l’œuvre de Dieu sur les âmes. Pour le saisir, il faut montrer que Macron nous ment et pourquoi il nous ment. Le Covidisme dans la Révolution Mondiale, témoignage d’un Médecin généraliste, participera à l’éveil des consciences et pourra contribuer à sortir les âmes de bonne volonté de l’impasse et de l’abîme dans lesquels le prince de ce monde veut plonger l’humanité.

Car n’oublions pas que ce qui est en jeu est au final le salut ou la perte éternelle de nos âmes.

Le monde matériel, notre terre, va de tout façon mourir et pas de mort naturelle, mais de mort violente ; ou pour mieux dire – puisque Dieu est un Dieu de vie et non pas de mort – d’une mort miraculeuse. L’Univers n’est pas un processus naturel, comme le pensent les évolutionnistes ou naturalistes, mais un poème dramatique dont les strophes s’appellent en théologie : Création, Rédemption, Parousie.

Le monde moderne, en rejetant sa vocation divine, ne comprend pas et ne pourra jamais comprendre ce qui lui arrive… S’étant détourné du Christ, il a inventé des systèmes, à la fois fantastiques et atroces, pour sauver l’humanité. Il est sur le point de donner naissance à une nouvelle religion. Il veut construire une nouvelle tour de Babel qui arrive jusqu’au ciel. Il veut reconquérir le jardin d’Eden avec les seules forces humaines. Elle exalte l’homme comme si ses forces étaient infinies. Elle promet à l’homme le royaume de Dieu et le paradis sur la terre par ses propres forces. L’adoration de la Science, l’espoir dans le Progrès et la monstrueuse Religion de la Démocratie, ne sont qu’idolâtrie de l’homme ; autrement dit, le fond satanique de toutes les hérésies, à présent à l’état pur… Le covidisme n’est qu’une étape dans ce projet satanique.

3. C’est pourquoi, troisièmement, et plus que jamais, il est temps de lire et de méditer l’apocalypse de saint Jean pour sortir victorieux de ce combat de géants. Nous vous confions ici les extraits les plus importants, les plus urgents et les plus consolants à méditer :

« Révélation de Jésus-Christ, que Dieu lui a confiée pour découvrir à ses serviteurs les événements qui doivent arriver bientôt… Jean aux sept Eglises qui sont en Asie : grâce et paix vous soient données de la part de Celui qui est, qui était et qui vient, et de la part des sept esprits qui sont devant son trône, et de la part de Jésus-Christ… “Je suis l’alpha et l’oméga” [le commencement et la fin], dit le Seigneur Dieu, celui qui est, qui était et qui vient, le Tout-Puissant. (ch. 1)

« Écris encore à l’ange de l’Église de Philadelphie : Parce que tu as gardé ma parole sur la patience, moi aussi je te garderai de l’heure de l’épreuve qui va venir sur le monde entier, pour éprouver les habitants de la terre. Voici que je viens bientôt : tiens ferme ce que tu as, afin que personne ne ravisse ta couronne…. Voici que je me tiens à la porte et je frappe : si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerai chez toi, je souperai avec lui et lui avec moi. Celui qui vaincra, je le ferai asseoir avec moi sur mon trône comme moi aussi j’ai vaincu et me suis assis avec mon Père sur son trône (ch. 3)

« Et je vis, quand il eut ouvert le sixième sceau, qu’il se fit un grand tremblement de terre, et le soleil devint noir comme un sac de crin, la lune entière parut comme du sang, et les étoiles du ciel tombèrent vers la terre, comme les figues vertes tombent d’un figuier secoué par un gros vent. Et le ciel se retira comme un livre qu’on roule, et toutes les montagnes et les îles furent remuées de leur place. Et les rois de la terre, et les grands, et les généraux, et les riches, et les puissants, et tout esclave ou homme libre se cachèrent dans les cavernes et les rochers des montagnes, et ils disaient aux montagnes et aux rochers : “Tombez sur nous et dérobez-nous à la face de Celui qui est assis sur le trône et à la colère de l’Agneau ; car il est venu le grand jour de sa colère, et qui peut subsister ?” (ch. 6)

« La troisième partie des hommes fût tuée par le feu, par la fumée et par le soufre qui sortaient de leur bouche. Car le pouvoir de ces chevaux est dans leur bouche et dans leurs queues : car leurs queues, semblables à des serpents, ont des têtes, et c’est avec elles qu’ils blessent. Les autres hommes, qui ne furent pas tués par ces fléaux, ne se repentirent pas non plus des œuvres de leurs mains, pour ne plus adorer les démons et les idoles d’or, d’argent, d’airain, de pierre et de bois, qui ne peuvent ni voir, ni entendre, ni marcher, et ils ne se repentirent ni de leurs meurtres, ni de leurs enchantements, ni de leur impudicité, ni de leurs vols. (ch. 9)

« Puis je vis monter de la mer une bête qui avait sept têtes et dix cornes, et sur ses cornes dix diadèmes, et sur ses têtes des noms de blasphème… Et il lui fut donné une bouche proférant des paroles arrogantes et blasphématoires, et il lui fût donné pouvoir d’agir pendant quarante-deux mois… Et il lui fut donné de faire la guerre aux saints et de les vaincre ; et il lui fût donné autorité sur toute tribu, tout peuple, toute langue et toute nation. Et tous les habitants de la terre l’adoreront, ceux dont le nom n’a pas été écrit dans le livre de vie de l’Agneau immolé, dès la fondation du monde. Que celui qui a des oreilles entende !… Puis je vis monter de la terre une autre bête, qui avait deux cornes semblables à celles d’un agneau, et qui parlait comme un dragon… et elle séduisait les habitants de la terre par les prodiges qu’il lui était donné d’opérer en présence de la bête, persuadant les habitants de la terre de dresser une image à la bête qui porte la blessure de l’épée et qui a repris vie. Et il lui fut donné d’animer l’image de ta bête, de façon à la faire parler et à faire tuer tous ceux qui n’adoreraient pas l’image de la bête. Elle fit qu’à tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, on mit une marque sur la main droite ou sur le front, et que nul ne pût acheter ou vendre, s’il n’avait pas la marque du nom de la bête ou le nombre de son nom. C’est ici la sagesse ! Que celui qui a de l’intelligence compte le nombre de la bête; car c’est un nombre l’homme et ce nombre est six cent soixante-six. (ch. 13)

« Puis je vis un autre ange qui volait par le milieu du ciel, tenant l’Evangile éternel, pour l’annoncer aux habitants de la terre, à toute nation, à toute tribu, à toute langue et à tout peuple. Il disait d’une voix forte : “Craignez Dieu et donnez-lui gloire, car l’heure de son jugement est venue; adorez Celui qui a fait le ciel et la terre, la mer et les sources des eaux.” Et un autre ange suivit, en disant : “Elle est tombée, elle est tombée, Babylone la grande, qui a abreuvé toutes les nations du vin de la fureur de son impudicité !” Et un troisième ange les suivit, en disant d’une voix forte : “Si quelqu’un adore la bête et son image, et en prend la marque sur son front ou sur sa main, il boira, lui aussi, du vin de la fureur de Dieu, du vin pur versé dans la coupe de sa colère, et il sera tourmenté dans le feu et dans le soufre, sous les yeux des saints anges et de l’Agneau. Et la fumée de leur supplice s’élèvera aux siècles des siècles, et il n’y aura de repos, ni jour ni nuit, pour ceux qui adorent la bête et son image, ni pour quiconque aura reçu la marque de son nom.” C’est ici que doit se montrer la patience des saints, qui gardent les commandements de Dieu et la foi en Jésus. (ch. 14)

« Les rois de la terre qui se sont livrés avec elle à l’impudicité et au luxe, pleureront et se lamenteront sur sort, quand ils verront la fumée de son embrasement. Se tenant à distance, par crainte de ses tourments, ils diront “Malheur ! Malheur! O grande ville, Babylone, ô puissante cité, en une heure est venu ton jugement !” Et les marchands de la terre pleurent et sont dans le deuil à son sujet, parce que personne n’achète plus leur cargaison… (ch. 18)

« Après cela, j’entendis dans le ciel comme une grande voix d’une foule immense qui disait ; “Alléluia ! Le salut, la gloire et la puissance appartiennent à notre Dieu, parce que ses jugements sont vrais et justes. Il a jugé la grande prostituée qui corrompait la terre par son impudicité, il a vengé le sang de ses serviteurs répandu par ses mains.”… Et j’entendis comme la voix d’une foule immense disant : “Alléluia! car il règne, le Seigneur notre Dieu, le Tout-Puissant ! Réjouissons-nous, tressaillons d’allégresse et rendons-lui gloire ; car les noces de l’Agneau sont venues, et son épouse s’est préparée, et il lui a été donné de se vêtir de lin fin, éclatant et pur.” Ce fin lin, ce sont les vertus des saints. Et l’ange me dit : “Ecris : Heureux ceux qui sont invités au festin des noces de l’Agneau!” Et il ajouta : “Ces paroles sont les véritables paroles de Dieu.” (ch. 19)

« Et le diable, leur séducteur, fut jeté dans l’étang de feu et de soufre, où sont la bête et le faux prophète, et ils seront tourmentés jour et nuit aux siècles des siècles. Puis je vis un grand trône éclatant de lumière et Celui qui était assis dessus; devant sa face la terre et le ciel s’enfuirent et il ne fut plus trouvé de place pour eux. Et je vis les morts, grands et petits, debout devant le trône. Des livres furent ouverts ; on ouvrit encore un autre livre, qui est le livre de la vie; et les morts furent jugés, d’après ce qui était écrit dans ces livres, selon leurs œuvres. La mer rendit ses morts ; la Mort et l’Enfer rendirent les leurs ; et ils furent jugés chacun selon ses œuvres. Puis la Mort et l’Enfer furent jetés dans l’étang de feu : – c’est la seconde mort, l’étang de feu. Quiconque ne fut pas trouvé inscrit dans le livre de la vie fut jeté dans l’étang de feu. (ch. 20)

« Et je vis un nouveau ciel et une nouvelle terre ; car le premier ciel et la première terre avaient disparu, et il n’y avait plus de mer. Et je vis descendre du ciel, d’auprès de Dieu, la ville sainte, une Jérusalem nouvelle, vêtue comme une nouvelle mariée parée pour son époux. Et j’entendis une voix forte qui disait : “Voici le tabernacle de Dieu avec les hommes : il habitera avec eux, et ils seront son peuple ; et lui-même il sera le Dieu avec eux, il sera leur Dieu. Et Dieu essuiera toute larme de leurs yeux, et la mort ne sera plus, et il n’y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur, car les premières choses ont disparu.” Et Celui qui était assis sur le trône, dit : “Voici que je fais toutes choses nouvelles.” Et il ajouta : “Ecris, car ces paroles sont sûres et véritables.” Puis il me dit : “C’est fait ! Je suis l’alpha et l’oméga, le commencement et la fin. A celui qui a soif, je donnerai gratuitement de la source de l’eau de la vie. Celui qui vaincra possédera ces choses ; je serai son Dieu et il sera mon fils. Mais pour les lâches, les incrédules, les abominables les meurtriers, les impudiques, les magiciens, les idolâtres et tous les menteurs, leur part est dans l’étang ardent de feu et de soufre : c’est la seconde mort.” (ch. 21)

« Et l’ange me dit : “Ces paroles sont certaines et véritables ; et le Seigneur, le Dieu des esprits des prophètes, a envoyé son ange pour montrer à ses serviteurs les choses qui doivent arriver bientôt. Voici que je viens bientôt. Heureux celui qui garde les paroles de la prophétie de ce livre !”… Et voici que je viens bientôt, et ma rétribution est avec moi, pour rendre à chacun selon son œuvre. Je suis l’alpha et l’oméga, le premier et le dernier, le commencement et la fin. Heureux ceux qui lavent leurs robes, afin d’avoir droit à l’arbre de la vie, et afin d’entrer dans la ville par les portes ! Dehors les chiens, les magiciens, les impudiques, les meurtriers, les idolâtres, et quiconque aime le mensonge et s’y adonne !… Celui qui atteste ces choses, dit : “Oui, je viens bientôt.” Amen ! Venez, Seigneur Jésus ! Que la grâce du Seigneur Jésus-[Christ] soit avec [vous] tous! [Amen!] (ch. 22)

Remarques sur les inepties hérétiques de M. Claude Timmerman dans son livre, « Judéo-christianisme », paru aux éditions Kontre Kulture – Par l’abbé O. Rioult

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