Le Talmud est le Livre des juifs. Il a été « le moule de l’âme juive, le créateur de la race » selon Bernard Lazare. Quand les rabbins le comparent à la Bible, celle-ci n’est que de l’eau ; mais celui-là est un vin précieux. Selon le Rav Ron Chaya, la célèbre compilation du Talmud, Shulhan ‘Arukh [la Table dressée], quoique « sensée être facile », et pourtant « extrêmement compliquée » vu les très nombreuses « lois qui gèrent les juifs », n’en est pas moins « beaucoup plus poussée que toutes les lois qui existent dans le monde entier… » En Israël, la loi oblige chaque ville à disposer d’un tribunal rabbinique dont les juges sont payés par l’État. Grâce au Talmud, ces sages en Israël possèdent une science profonde, comme Rabbi Yohanane enseignant que « le pénis de Nabuchodonosor s’est allongé de trois cents coudées » ; donnent de sages conseils, tels ces docteurs assurant « l’homme » qu’il « peut user de sa femme de la façon qu’il lui plaît… comme un morceau de viande que l’on peut manger rôti, bouilli ou cuit sur la braise » ; et prennent d’importantes décisions à l’exemple du philosophe Maïmonide, pour qui « les rapports charnels d’un garçon de neuf ans et un jour ont une signification légale mais en dessous de cet âge, ils n’en ont pas… »
Étonnamment, cette loi juive parle beaucoup de nous, les goyim, les non-juifs… Le Talmud contient en effet des « préceptes égoïstes, féroces et nationaux dirigés contre les étrangers » concède Bernard Lazare : « Ce mot goy renferme toutes les haines d’Israël contre l’étranger ». Là où le Christ était venu « détruire le mur de séparation entre les Juifs et les nations pour les réunir dans un même royaume spirituel », le Talmud, rêvant obstinément d’un royaume charnel et terrestre, est venu rebâtir ce mur en cultivant chez Israël « son fol orgueil de peuple privilégié et sa haine contre les Gentils. »
Pour saint Jérôme le Talmud est rempli de « fables honteuses » et « de puérilités ridicules ». Pour Mgr Freppel, outre ses « folles imaginations », il recèle « l’ouvrage le plus abominable qui soit sorti de la main des hommes » et aussi une « casuistique qui étouffe tous les sentiments d’humanité qui mérite plus de pitié que d’indignation. » Quand ce livre fut bien connu, il suscita beaucoup d’indignation. Au cours de l’histoire, un nombre incalculable d’exemplaires furent livrés aux flammes par des rois, comme saint Louis en 1242, par des papes, comme Paul IV (1555-1559) et, fait remarquable, les plus zélés à poursuivre leur destruction étaient des juifs convertis.
Si vous voulez mieux connaître ce formidable Talmud, son rejeton (la Cabale), et sa cousine germaine musulmane (la Sunna), ce livre est pour vous. Il est le fruit d’un travail persévérant de Juda le prince. Un goy qui a presque tout lu : le Talmud de Jérusalem et celui de Babylone, Maïmonide, le Zohar et ses épigones, la Sira et les hadiths, les commentaires des commentaires… Plus de 30.000 pages dont l’essentiel, après avoir été publié en articles pour le journal Rivarol, vous est livré aujourd’hui en un seul volume. Cet ouvrage vous permettra de découvrir ce que les auteurs du Talmud auraient préféré que vous ne sachiez jamais…
Vous pouvez commander en imprimant le bon de commande (PDF) ou en ligne sur la boutique des Éditions Saint Agobard