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De l’OxyContin des Sackler au Covid 19 de Bill Gates

par | Juil 3, 2020 | Abbé Rioult

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D’une famille juive américaine au philanthrope de l’OMS :
un même mensonge destructeur…

La plupart de nos contemporains ne sont pas prêts, ni psychologiquement ni culturellement, à comprendre notre monde. Ne s’arrêtant qu’aux apparences, ils ne sont pas capables de saisir les faits dans toute leur cruelle réalité. La vérité est trop violente. Alors allons-y en douceur. Avant de dire quelques mots de l’imposture mondialiste, commençons par un cas circonscrit à une famille et un pays : la famille Sackler aux USA. Nous irons ainsi de l’OxyContin au Covid 19.

Qui sont les Sackler ?

Les Sackler sont une famille juive multimilliardaire qui a fait fortune dans l’industrie médicale aux États-Unis. En 1952, dans le Connecticut, deux frères, Mortimer et Raymond, fils d’immigrants juifs venus de Pologne et d’Ukraine, achètent une petite entreprise de médicaments de New York qu’ils transformeront en un empire pharmaceutique prenant par la suite le nom de “Purdue Pharma”.

En 1996, Purdue présente un médicament opioïde qui fait des merveilles parmi les analgésiques : l’OxyContin. C’est la vente de ce médicament vedette qui va assurer l’écrasante majorité des revenus de Purdue Pharmacy et qui a propulsé la famille Sackler au 19e rang des familles les plus riches aux États-Unis avec une fortune de 13 milliards de dollars (Forbes, 2016). Après avoir été nommé Chevalier honoraire de l’Ordre de l’Empire britannique, Mortimer créera la Fondation Dr Mortimer et Theresa Sackler conjointement avec sa troisième épouse. Comme on le verra, chez ces gens-là, c’est une manie (ou plutôt une stratégie) de créer des fondations : Fondation Bill et Melinda Gates, Fondation Rockefeller : pour le bien-être de l’humanité… À sa mort, Mortimer laisse trois femmes et sept enfants dont trois siègent au conseil d’administration de la société qu’il a cofondée.

Cette grande famille est mondialement connue pour sa philanthropie. Les institutions culturelles et éducatives aux États-Unis et en Europe qui ont accepté les largesses des Sackler sont très nombreuses : Metropolitan Museum of Art à New York, le Louvre à Paris, le National Portrait Gallery, la Tate Gallery, le Royal College of Art de Londres, le musée juif de Berlin, les universités de Columbia, de Yale et du MIT, l’école de médecine de l’université de Tel Aviv, et bien d’autres… Mais…, car il y a un ‘Mais’, le temps a révélé que cette philanthropie n’était qu’une couverture, une apparence, une imposture. Une stratégie comparable à celle du loup qui, pour mieux manger les brebis, se cache sous une peau de brebis… En effet, l’étonnant triomphe commercial de cette famille allait provoquer une tragédie de santé publique sans précédant.

Un médicament qui tue mais qui rapporte…

La firme pharmaceutique créée par les deux frères Sackler est responsable d’une crise majeure d’addiction aux opioïdes, qui a entraîné des centaines de milliers de morts chez les Américains. France 2 a produit un documentaire : « Antidouleurs : l’Amérique dévastée » où il est question de douleurs physiques intolérables, de pilules prétendument magiques, d’accoutumance mortelle, de décès en masse et d’un scandale sanitaire hors du commun.

La cause de tout cela est l’OxyContin, un médicament antidouleur à base d’opium – deux fois plus puissant que la morphine – fabriqué par le laboratoire Purdue. Lancé en 1996 à grand renfort de publicité, il a rapidement envahi les pharmacies des particuliers. À l’époque, des médecins payés par Purdue assuraient, face caméra, que les opioïdes étaient non seulement très efficaces, mais surtout sans danger. Le succès commercial fut immense.

Mais vingt ans plus tard, la plupart des anciens patients modèles choisis par Purdue pour incarner les vertus du médicament sont morts. Car, pour que l’effet perdure, il faut augmenter les doses… Alors les douleurs s’estompent. Mais pour un temps seulement. D’où nécessité de prises de plus en plus importantes… Bref, un véritable cercle vicieux. Car à force d’ingurgiter de plus en plus d’OxyContin, on devient dépend, puis on meurt d’overdose.

L’OxyContin a donc déclenché l’une des pires épidémies de toxicomanie et d’overdoses de l’histoire des USA : des cas de mort subite à répétition, des consommateurs terrassés soudainement en pleine rue ou en faisant leurs courses au supermarché ou au volant de leur véhicule… Des milliers de citoyens ordinaires sont devenus toxicomanes après s’être simplement procuré ces médicaments auprès de leur médecin. Des milliers d’Américains, en croyant se soigner, sont devenus massivement dépendants aux opioïdes, à cause de ces antidouleurs vendus légalement et prescrits pour traiter l’arthrose ou le mal de tête ou des douleurs abdominales. On croyait acheter de l’aspirine et on a fini dépendant à l’héroïne, puis on a perdu son travail, puis on a volé pour continuer à acheter sa dose, puis on s’est retrouvé en prison ou en centre de désintoxication ou dans un cercueil. Les mères qui prenaient le produit des Sackler ont contaminé leur enfant…

Cette addiction aux opioïdes a causé la mort de près de 300.000 personnes en vingt ans aux Etats-Unis, dont 72.000 pour la seule année 2017 : plus que les armes à feu et accidents de la route combinés ! Cela commence à faire beaucoup pour un analgésique présenté comme sans risque de dépendance par une famille de philanthropes… Grâce aux Sackler, l’espérance de vie recule aux États-Unis !

Des centaines de procès contre l’arnaque criminelle

Toutes ces victimes faisaient confiance à leur médecin et aux instances pharmaceutiques. Toutes ont cru à la publicité de Purdue Pharma : conférences et spots télévisés tenaient un langage rassurant qui disait en substance : vous ne craignez rien, il n’y a aucun risque d’addiction, les chiffres le prouvent. En fait, rien n’était scientifiquement fondé. Une pure arnaque et une arnaque programmée !

La société Purdue Pharma et ses héritiers sont accusés d’avoir tissé une « toile de fraude illégale » qui a alimenté la crise mortelle dans laquelle se trouve actuellement l’Amérique. Selon Maura Healey, procureur général de l’État du Massachusetts, la poursuite nomme 16 dirigeants et membres du conseil d’administration actuels et anciens, y compris le chef de la direction, Craig Landau, et huit membres de la famille Sackler qui possède Purdue en totalité. Selon le journal The Guardian, les Sacklers poursuivis sont : Theresa et Beverly, les veuves des frères Mortimer et Raymond Sackler ; Ilene, Kathe et Mortimer David Alfons Sackler, trois des enfants de Mortimer ; Jonathan et Richard Sackler, les deux fils de Raymond ; et David Sackler, le petit-fils de Raymond.

Comme le rapporte The Guardian, la plainte allègue que Purdue a trompé les patients et les médecins au sujet des risques des opioïdes, a poussé les prescripteurs à garder les patients sous médicaments plus longtemps et a ciblé agressivement les populations vulnérables, comme les personnes âgées et les anciens combattants. « Leur stratégie était simple, déclare Healey : plus ils vendaient de drogues, plus ils gagnaient de l’argent et plus il y avait de morts. Ce sont les dirigeants de Purdue qui ont supervisé ce modèle d’affaires illégal, conduisant à la toxicomanie et à la tromperie pour enrichir quelques-uns tout en laissant dans son sillage un chemin de dévastation et de destruction. »

Une centaine de villes et près de trois cents avocats ont engagé des centaines de procédures contre ces méthodes pour pratiques frauduleuses et fallacieuses dans la commercialisation de l’OxyContin. En 2007, le Dr Goldenheim et deux autres cadres de Purdue Pharma avaient déjà plaidé coupables pour marketing frauduleux et pour avoir minoré les risques d’addiction de l’Oxycontin. La justice infligea alors une amende de 600 millions de dollars au laboratoire, somme dérisoire au vu des bénéfices réalisés. Cela n’a pas empêché la firme pharmaceutique de continuer sa campagne en faveur de son médicament phare. Elle a même redoublé d’efforts pour multiplier les ventes de son produit miracle. Pour cela, une centaine de visiteurs médicaux ont été recrutés afin de démarcher, non plus seulement les spécialistes, mais les généralistes du pays. Les visiteurs médicaux visaient les médecins de famille : « Vos patients ont des douleurs ? J’ai le médicament qu’il vous faut pour les soulager… » et ils laissaient des revues scientifiques louant les produits de Purdue Pharma sans leur dire bien sûr que ces revues étaient financées par Purdue Pharma elle-mêmeLeurs primes, conséquentes (des milliers dollars par trimestre), augmentaient selon les dosages prescrits par les médecins. Et cerise sur le gâteau : les revues disaient que pour résoudre la “pseudo addiction” du patient, il fallait augmenter les doses… Il n’y a que des êtres dégénérés pour être capables de mentir à ce point. En Yiddish, on appelle cela la chutzpah, en français le culot. Plus les dosages étaient élevés, plus les Sackler s’engraissaient, et plus aussi les Américains devenaient accros…

C’est ainsi que l’OxyContin a pu générer des milliards de dollars de revenus, grâce à des techniques de vente très agressives. On retrouve les mêmes techniques véhiculées et pratiquées par le même genre d’individus dans le monde du travail et de la finance… Lisez la Mafia juive d’Hervé Ryssen, les exemples y abondent.

Concrètement, la famille Sackler est responsable de plus de décès que n’importe quel cartel de drogue mexicain. Avec cette différence que cette famille juive était librement autorisée à commercialiser ses drogues potentiellement mortelles, alors que la mafia mexicaine était, pour la même activité, considérée comme illégale et poursuivie par les forces de police. Ceci explique peut-être pourquoi, chez les Sackler, on ne donnait jamais d’interview et que leur firme n’a jamais été cotée en bourse.

La Mafia pharmaceutique…

Nous ne sommes pas dans la 5e dimension, mais bien dans la réalité. Des médecins ont réellement mis leur savoir-faire au service de la mort, pour faire un maximum de profit. Cette pratique “médicale” n’a bien sûr rien à voir avec le serment d’Hippocrate. Le but est ici de servir Mammon. Peu importe que cela sème la mort autour de soi. Ces pratiques ne choquent que ceux qui ont une conscience, mais elles ne posent aucun problème à ceux qui ont perdu tout sens moral. Selon Barry Meier, les Sackler « était une famille qui ne se contentait pas de compter toutes les pilules vendues, mais qui s’assurait également que chaque pilule vendue présentait la plus grande force, parce que ça allait rapporter le plus de dollars ».

Ce scandale a aussi manifesté une corruption généralisée de l’establishment, du gouvernement américain et de l’institution médicale. Même après des dizaines de poursuites judiciaires qui ont révélé la corruption, la FDA (Food and Drug Administration) a approuvé une mesure visant à donner de l’OxyContin aux enfants… Selon un reportage réalisé sur la famille en 2017 par le New Yorker, la FDA avait même estimé un temps que ce médicament présentait moins de risques d’addiction, et ce, même si Purdue s’était refusé à effectuer des études cliniques sur l’efficacité du médicament. En réalité, les dangers de l’addiction à l’OxyContin ont été sciemment et criminellement minimisés ou même dissimulés.

Non seulement Purdue a menti aux médecins sur le potentiel addictif du médicament et recommandé de prescrire des dosages d’OxyContin quand ce n’était pas nécessaire, mais le New Yorker, ainsi que d’autres articles détaillés consacrés à Purdue et à la crise des addictions, ont trouvé des preuves de pratiques douteuses de la part de cette compagnie. Selon le Los Angeles Times : « L’enquête du Times, publiée en juillet, a révélé que pendant plus d’une décennie, une équipe de sécurité interne de “Purdue” a surveillé les médecins et les pharmacies qu’elle soupçonnait de collusion avec des trafiquants et des toxicomanes. Dans le cas du réseau de L.A., les criminels ont mis sur pied une clinique bidon près de MacArthur Park en 2008 et ont travaillé avec des médecins et des pharmaciens corrompus pour obtenir des pilules pendant plus de 18 mois. Un directeur des ventes de “Purdue” dépêché pour enquêter sur le volume élevé d’ordonnances à la clinique a trouvé un bâtiment délabré rempli d’hommes brutaux et a exhorté les superviseurs à alerter la “Drug Enforcement Administration”, en disant qu’elle était “très certaine que c’est un réseau de narcotrafiquants organisé”. Malgré ses plaidoyers et des preuves supplémentaires suggérant que des pilules se déversaient entre les mains de criminels, les responsables de l’entreprise ne se sont adressés aux autorités que des années plus tard, lorsque le réseau de trafic de drogue a cessé ses activités et que ses dirigeants ont été mis en accusation. À ce moment-là, 1,1 million de pilules s’étaient déversées dans le commerce illicite. » Purdue maintenait aussi une base de données secrète de 1800 médecins suspects, mais seulement 10 % d’entre eux ont été signalés aux forces de l’ordre.

La médecine est une putain, son maquereau c’est le pharmacien” (Renaud)

Quittons les USA pour l’OMS et son fameux virus qui n’a été qu’une sévère grippe saisonnière. Quittons les Sackler et leur drogue pour passer à Bill Gates et à son vaccin… L’échelle est différente, mais l’arnaque est la même : même discours philanthropique, même richesse mammonique, même projet satanique…

Dans son article Hydroxychloroquine : comment la mauvaise science est devenue une religion, Jean-Dominique Michel, anthropologue médical et expert en santé publique, donnait quantité de citations de scientifiques confessant que c’était une erreur de faire naïvement confiance aux “scientifiques”. Il citait le médecin John Ioannidis avec son article “Pourquoi la plupart des résultats de recherche scientifique publiés sont faux” (2006) ; le Dr Richard Smith, rédacteur en chef du British Medical Journal qui osa publier un éditorial sans ambiguïté reprenant les critiques de Ioannidis : “La plupart des études scientifiques sont erronées, et elles le sont parce que les scientifiques s’intéressent au financement et à leurs carrières plutôt qu’à la vérité” ; Le Dr Relman qui, en 2002, avait déjà souligné : “La profession médicale est achetée par l’industrie pharmaceutique, non seulement en termes de pratique de la médecine, mais aussi en termes d’enseignement et de recherche” ; son successeur, Marcia Angeli relevait, quant à elle, en 2009 : “Il n’est tout simplement plus possible de croire une grande partie des recherches cliniques qui sont publiées, ni de se fier au jugement de médecins de confiance ou à des directives médicales faisant autorité. Je ne prends aucun plaisir à cette conclusion, à laquelle je suis parvenue lentement et à contrecœur au cours de mes deux décennies de travail de rédactrice en chef.”

Bref, l’industrie pharmaceutique ne s’occupe pas de notre santé : elle s’occupe simplement de marketing et de profit. Elle n’hésite donc point à mettre sur le marché des produits dont elle connaît les effets dangereux ou létaux qu’elle omet délibérément de déclarer. Elle n’hésite pas à payer des professeurs en médecine renommés pour nier tout lien de causalité entre certains dommages et tel médicament. Les déplacements des médecins des hôpitaux parisiens et leurs congrès professionnels sont financés à hauteur de 40 millions d’euros par an par les laboratoires. L’industrie pharmaceutique finance par ailleurs la formation continue (et obligatoire) des médecins. La dépense est estimée entre 300 et 600 millions d’euros chaque année. Lorsqu’un scandale éclate, l’industrie pharmaceutique retire la molécule toxique, mais non sans avoir au passage engrangé un énorme pactole (Le Vioxx du laboratoire Merck a rapporté 11 milliards de dollars pendant le temps de sa commercialisation). Big pharma se voit infliger une “amende” pour mauvaise conduite mais celle-ci reste toujours ridicule au regard du bénéfice réalisé ($950 millions face aux 11 milliards pour le Vioxx).

Mais surtout, aucun responsable ne va en prison même si des centaines ou des milliers de personnes ont été tuées au passage. Car l’industrie pharmaceutique a pris la précaution de corrompre le système et de placer ses pions sur l’échiquier politique : le couple Agnès Buzyn (ministre de la santé qui décida de rendre 11 vaccinations obligatoires) et Yves Lévy (à la tête de l’INSERM) est un cas emblématique. De même que la décision d’Agnès Buzyn de classer en urgence l’hydroxychloroquine au tableau des “substances vénéneuses”, et cela quelques semaines avant que l’OMS de Bill Gates crie à la Pandémie, a dû réjouir l’industrie vaccinale : car l’hydroxychloroquine est une substance très sûre, prise par des centaines de millions de personnes depuis des décennies qui ne coûte pas cher, et est donc peu rentable pour Mammon. Tandis qu’un vaccin… ça rapporte gros, et peu importe qu’il soit dangereux ou inutile.

Un vaccin rapporte en effet gros, très gros : Dans un article du monde diplomatique de janvier 2018, Leïla Shahshahani donne quelques chiffres… : « Au niveau mondial, le chiffre d’affaires de cette industrie était de 42,3 milliards d’euros en 2016, contre 20,3 milliards en 2012. Il pourrait avoisiner les 67 milliards d’ici à 2025. C’est le plus fort taux de croissance dans le secteur des médicaments. » Samuel Laurent, responsable de la rubrique “les décodeurs” dans Le Monde, revue subventionnée par Bill Gates, prétendait mensongèrement que : « Les vaccins sont génériques, ils ne rapportent pas grand-chose aux labos. » Pure propagande ! Dans le rapport annuel 2016 de Sanofi Pasteur, on apprend que : « En 2016, Sanofi a réalisé une marge brute de 62 % sur les vaccins, au plus haut depuis 5 ans. Le résultat opérationnel 2016 (bénéfices bruts) de la filière vaccins est de 1,57 milliard €, soit 34,4 % de son chiffre d’affaires, alors que la marge opérationnelle de l’ensemble du groupe est de 27,5 % » Vous connaissez beaucoup de commerçants qui se font 62 % de marge brute ?…

Et tant pis si le vaccin est dangereux. Le document Farewell PDR (Physician Desk Reference), la “bible” annuelle de l’industrie du médicament donne les principaux ingrédients des vaccins, qui sont : Pathogènes atténués (version affaiblie du virus ou de la bactérie) ; Adjuvants et conservateurs (mercure, formaldéhyde, aluminium, éthylène glycol, phénol. Leur but est de provoquer une réponse immunitaire plus forte que celle suscitée par le pathogène atténué) ; Formaldéhyde aux effets cancérigènes, neurotoxiques connus ; Phénol (neurotoxique et allergène majeur) ; Ethylène Glycol (conservateur problématique) ; Aluminium (toxique pour le système nerveux central et occasionnant de fortes réactions du système immunitaire et responsable de l’autisme). La neurotoxicité et l’accumulation de ces produits ne font aucun doute, des centaines d’études scientifiques le prouvent. Pour le mercure, on reçoit 25 microgrammes en une seule injection alors que le maximum tolérable est de 2 microgrammes par kg de poids corporel… Pour un bébé de 5 kg, le maximum journalier tolérable est de 10 microgrammes… Le vaccin qu’il reçoit représente donc deux fois et demi la dose tolérable ! Et en plus ces normes de l’OMS concernent le mercure ingéré (par voie orale), et non pas
injecté (par voie intramusculaire comme pour un vaccin) !

Bill Gates : médecin du monde” (Paris Match) ?

Comme l’écrivait Jean-Dominique Michel : « Il est en effet effrayant de voir combien de similitudes il y a entre cette industrie et la mafia. La mafia gagne des sommes d’argent obscènes, tout comme cette industrie. Les effets secondaires du crime organisé sont des meurtres et des morts, et les effets secondaires sont les mêmes dans cette industrie. La mafia corrompt les politiciens et autres, tout comme l’industrie de la drogue… Beaucoup de gens sont tués par l’industrie, beaucoup plus que par la mafia. Et, comme pour la mafia, malheur à ceux qui dénoncent ou témoignent contre l’industrie. Peter raconte plusieurs histoires de dénonciateurs traqués. La “mauvaise” médecine (mauvais diagnostics, mauvais traitements, médicaments toxiques) est devenue aujourd’hui aux États-Unis la troisième cause de mortalité après les maladies cardiovasculaires et les cancers. »

Eh bien, cette “mauvaise” médecine a décrété une pandémie de papier ! En réalité, il n’y a jamais eu de « crise sanitaire sans précédent » (dixit Macron). Sur le papier et dans les médias du Système : si, mais dans la réalité : non. On a arrêté de compter les morts de la grippe que l’on a fait passer (sans preuve ni autopsie) dans les morts du Covid et tous les morts supposés avec le Covid étaient déclarés et supposés être morts du Covid. Bref, grâce à cette manipulation des chiffres, la pandémie mondiale s’est révélée être une stratégie de gouvernement par la terreur, stratégie particulièrement efficace. Cette fameuse “pandémie” avait été annoncée et souhaitée par des gens tels que Jacques Attali ou Bill Gates. La fondation de M. Gates avait même, en 2019, financé l’évènement 201 : une simulation organisée à New York concernant un épidémie de coronavirus…

Et ce n’est pas un hasard si l’OMS, qui a pour principal bailleur de fonds la fondation Gates, s’est permis de changer la définition de la pandémie (dépendante d’une haute mortalité) afin de pouvoir classer n’importe quelle épidémie (sans haute mortalité) en pandémie… Car cela permet de créer un état d’urgence qui lui-même permet à son tour de décréter n’importe quelle mesure liberticide. Sinon, quel serait l’intérêt de déclarer pandémie une épidémie qui dure depuis à peu près six mois, et dont les chiffres de mortalité, même surévalués, donnent péniblement 300.000 décès dans le monde ? Rien à voir avec les épidémies du passé qui faisaient des millions de morts sur une population mondiale plus réduite. Pour rappel, la Malaria a tué dans le monde, et pendant ce même temps, 327.000 personnes selon les sources mêmes de l’OMS ; les suicides : 357.000 mille ; les cancers : 2.7 millions ; la malnutrition : 3.7 millions ; les maladies infectieuses : 4.3 millions ; sans oublier les avortements d’enfants : 14.1 millions… Les leçons du Professeur Robert Faurisson n’ont toujours pas été retenues mais elles restent pourtant d’actualité. Ce Maître de conférences en critique de textes et de documents nous mettait en garde contre la propagande qui nous empêche de voir la réalité : “On vous expose des photographies de morts et vous croyez y voir des tués”… Pourquoi ? Parce que le discours idéologique nous y invite en faisant fi de la réalité. De même dans notre cas : les chiffres de la mortalité du Covid 19 sont ceux d’une épidémie classique d’une grippe annuelle, mais le discours nous dit que nous avons affronté un pandémie exceptionnellement grave et meurtrière… Et la masse y croit, non parce que c’est la réalité mais en raison du discours officiel et de la mise en scène orchestrée… Or, comme le professeur Denis Rancourt l’a montré : “les masques et les gestes barrières sont inutiles”. En effet, la proportion virus/masque revient à vouloir arrêter un ballon de 20 cm avec un filet dont les mailles seraient de 3 mètres ! Ceux qui portent volontairement des masques sont donc des imbéciles (victime du mensonge) ou des comédiens (complice du mensonge).

Le fondateur et ancien PDG de Microsoft, longtemps l’homme le plus riche du monde, finance près de sept vaccins pour “vaincre” le coronavirus et a investi 250 millions de dollars… En collaboration avec MIT, l’un de ces vaccins servira en fait de “nano-tatouage” comme preuve de la vaccination, et sera indispensable à l’obtention d’un passeport. Il ne s’agit plus ici de santé mais de contrôle de la population. Les hommes seront pucés comme les animaux. Tout cela rappelle une vision de l’humanité très talmudique… Saint Jean nous avait prévenus : « Puis je vis monter de la terre une autre bête [pouvoir religieux apostat], qui avait deux cornes semblables à celles d’un agneau, et qui parlait comme un dragon [Satan]. Elle exerçait toute la puissance de la première bête [pouvoir temporel mondialiste] en sa présence, et elle amenait la terre et ses habitants à adorer la première bête, dont la plaie mortelle avait été guérie [Israël]. Elle séduisait les habitants de la terre par les prodiges qu’il lui était donné d’opérer en présence de la bête… Elle fit qu’à tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, on mit une marque sur la main droite ou sur le front, et que nul ne pût acheter ou vendre, s’il n’avait pas la marque du nom de la bête ou le nombre de son nom. C’est ici la sagesse ! Que celui qui a de l’intelligence compte le nombre de la bête ; car c’est un nombre d’homme et ce nombre est six cent soixante-six [idéologie des droits de l’homme divinisé]. » (Apoc 13, 11-18)

Ce projet de traçabilité numérique universelle se nomme ID2020 : chaque personne se verra attribuer une identité numérique pour enregistrer, au-dessus de chaque État-nation, les dates de naissance, les dossiers médicaux, les cartes de crédit, les voyages, les droits politiques, les prestations de sécurité sociale, les antécédents médicaux, l’historique des vaccinations des citoyens du monde entier…

Officiellement, le mot Covid-19 est apparu le 11 février 2020, lorsque l’Organisation mondiale de la santé a pris les syllabes ‘co’ et ‘vi’ empruntées au mot coronavirus, et de l’initiale du mot anglais ‘disease’, qui signifie « maladie, pathologie » et le nombre 19 pour l’année de son apparition : 2019. Mais selon certains le Covid-19 voudrait dire “Certificat Of Vaccination IDentity” avec 1=a et 9=i pour AI soit Intelligence Artificielle. Ce ne serait donc pas le nom du virus mais celui du Plan mondial d’asservissement des populations. Des accords ont été signés en ce sens par la Fondation Bill & Melinda Gates, avec GAVI, l’Alliance Globale pour les Vaccins et l’Immunisation, les Nations Unies et d’autres acteurs puissants (Banque Mondiale…). Bref, uniquement des “altruistes” mondialistes cosmopolites apatrides… comme la Fondation Rockefeller qui a déclaré exister « pour faire face à des moments comme celui-ci » et Soros qui affirme que « c’est la crise de ma vie. Avant même que la pandémie ne frappe, j’ai réalisé que nous étions à une époque révolutionnaire où ce qui serait impossible, voire inconcevable en temps normal, était devenu non seulement possible, mais probablement absolument nécessaire. » (Interview de Gregor Peter Schmitz, 11 mai 2020)

Vous l’avez compris, il y a dans le totalitarisme sanitaire une logique mammonique couplée à un impératif idéologique. Mais attention la clé du problème n’est pas l’argent-roi. Mammon, n’est qu’un moyen. Très peu de personnes vont jusqu’au bout du problème qui est l’orgueil de la créature : une envie de pouvoir illimité au service de Satan…

Les Sackler, Bauer, Lévy, Buzyn, Hirsch, Salomon, Jacob sont juifs. Les Gates, Rockefeller et mille autres ne sont pas juifs. Mais tous sont de dangereux mammonites au service du diable. C’est pourquoi nous résumions notre étude sur la Question juive par ces mots : « La prétendue religion juive, codifiée par les rabbins dans le Talmud, et la prétendue race juive, instrument de propagande sioniste, forment une seule et même imposture inspirée par l’enfer et dénoncée par l’apôtre Jean sous le nom de “Synagogue de Satan”, dont le but est, d’une part, d’emprisonner les juifs perfides dans un ghetto psychique, et d’autre part, au moyen d’un projet mondialiste, matérialiste et totalitaire qui profite temporellement à une toute petite minorité de Mammonites juifs et non-juifs, d’asservir l’humanité toute entière, et ce par une permission divine en raison du châtiment mérité par tous les peuples pour avoir, les uns comme les autres, préféré Mammon au Christ. »

Dieu ou Mammon” avertissait le Christ

La plupart des gens ne croient ni en Dieu ni au diable. Il leur paraîtra donc inimaginable et inconcevable que la plupart des hommes politiques, que la plupart des médias officiels et que la plupart des organisations internationales (telles que l’ONU, OMS, FMI…) puissent n’être que des outils d’une propagande mensongère et criminelle au service de ceux qui les financent et qui se trouvent être des individus sans scrupules… au service du diable.

Pour comprendre cela, il suffit de s’informer un peu sérieusement, puis d’accepter les faits… Montrons-le, pour faire court, en trois étapes et à travers trois citations :

  1. Aujourd’hui, l’Etat, révolutionnaire et maçonnique, est le pire ennemi du peuple. L’historien Jean de Viguerie écrivait en effet : « Nous devons nous rendre à l’évidence, la patrie a disparu de nos yeux. De même la nation. L’indépendance et la souveraineté sont les conditions nécessaires de l’existence d’une nation. Or, nous savons ce que l’européisme et le mondialisme ont fait de l’indépendance et de la souveraineté de la France. […] Depuis plus de deux siècles sont persécutés dans notre pays ceux qui refusent de rendre un culte aux mythes appelés droits de l’homme. La patrie disparue, la nation désagrégée, il reste l’État. […] Avec l’État issu des Lumières et de la Révolution, on ne fera jamais rien. Les Vendéens et le comte de Chambord l’avaient compris. Un jour peut-être les Français le comprendront. […] En fait, il n’y a plus de France, et ce sont les gouvernements qui l’ont tuée. Voilà la réalité.» (Les deux Patries, 2003)
  2. Aujourd’hui le pouvoir politique, au sens noble du terme, a disparu au profit du seul pouvoir occulte et économique. Valérie Bugault, docteur en droit, a déclaré sur Radio Courtoisie en 2018 : « Aujourd’hui la monnaie ne sert plus le bien commun mais des intérêts privés. La monnaie est aujourd’hui conçue structurellement comme un instrument de domination. Aujourd’hui le pouvoir politique n’est qu’une émanation du pouvoir économique qui se cache derrière les institutions étatiques mais qui est aux mains d’une minorité financière nomade, anonyme, apatride et cosmopolite. L’État français, techniquement, fonctionnellement, n’existe plus. Il n’a plus aucune souveraineté. On en parle encore beaucoup, mais c’est parler de quelque chose qui a disparu depuis un moment. C’est flagrant depuis les institutions européennes mais c’est vrai depuis les 150 dernières années… L’élément clé à garder en tête et à comprendre, c’est que le pouvoir politique en Occident n’existe plus depuis le siècle des lumières. Dans le Nouvel Ordre Mondial, les chefs réels sont anonymes, donc irresponsables – car n’ayant pas de compte à rendre – sans limite et totalitaire…. »
  3. Aujourd’hui, et c’est là peut-être le plus difficile à accepter, le monde est dirigé par des élites pédocriminels au service de Satan qui pratiquent des rites de pouvoir en violant, en torturant, en tuant et en buvant le sang d’enfants. Voir à ce sujet le documentaire en trois parties, “Les enfants sacrifiés”, réalisé par Hervé Ryssen qui synthétise sur ce sujet différents témoignages et enquêtes (Karl Zero, Elice Lucet…)

Quand Dieu ne règne pas, Satan exerce son pouvoir maléfique avec plus de cruauté. Aux hommes de choisir qui ils veulent pour maître ! Seule une profonde ignorance de la dimension religieuse du drame humain explique l’incrédulité des masses devant le pédo-satanisme. Depuis l’origine des temps idolâtriques, Satan a pris plaisir à humilier les hommes qui avaient abandonné le culte du vrai Dieu en favorisant les sacrifices humains et particulièrement ceux des enfants. La Bible comme l’histoire profane (Royaume inca, cannibalisme rituel en Papouasie et en Centrafrique…) racontent ces mêmes faits à toutes les époques. Et ce n’est pas parce les suppôts du diable portent aujourd’hui des cravates et des téléphones portables qu’ils ne sont plus des suppôts de Satan.

La loi divine du vrai Dieu a toujours proscrit ces pratiques sataniques : “Tu ne donneras aucun de tes enfants pour le faire passer par le feu en l’honneur de Moloch, et tu ne profaneras pas le nom de ton Dieu. Je suis Yahweh.” (Lev 18,21) ; “Tu n’agiras pas ainsi à l’égard de Yahweh, ton Dieu; car elles faisaient pour leurs dieux toutes les abominations que déteste Yahweh, et même elles livrent au feu leurs fils et leurs filles en l’honneur de leurs dieux.” (Deut 12, 31) Mais les juifs régulièrement tombèrent dans ce culte abominable. Des rois impies de Juda et d’Israël se rendirent eux-mêmes coupables de ces crimes : Achaz et Manassé à Jérusalem ; Osée en Samarie ; Salomon lui-même à la fin de sa vie (II Rois 23, 10-14). Ces pratiques ne disparurent jamais complètement. Régulièrement Dieu faisait parler ses prophètes qui fulminaient contre les pervers s’adonnant à ces sacrifices d’enfants par le feu : « Parce qu’ils m’ont abandonné, qu’ils y ont offert de l’encens à des dieux étrangers et qu’ils ont rempli ce lieu du sang des innocents. Ils ont bâti des hauts lieux à Baal pour consumer leurs enfants par le feu en holocauste à Baal ; Choses que je n’avais pas commandées, ni dites. Et qui n’étaient point montées dans ma pensée. C’est pourquoi voici que des jours viennent, dit Yahweh, où je rendrai vain dans ce lieu le conseil de Juda et de Jérusalem… Et je ferai de cette ville un objet de stupeur et de moquerie… Ainsi parle Yahweh des armées : Je briserai ce peuple et cette ville, comme on brise le vase du potier qui ne peut plus être réparé… » (Jérémie 19, 5-13) ; « Tu as pris tes fils et tes filles que tu m’avais enfantés ; tu les leur as offerts en sacrifice pour qu’ils les dévorassent. Etait-ce trop peu de tes prostitutions, que tu aies égorgé mes fils, et que tu les leur aies livrés, en les faisant passer par le feu en leur honneur ?… Malheur, malheur à toi ! Oracle du Seigneur Yahweh. » (Ezéchiel 16, 20-23)

Conclusion

Il me semble que le moment est venu d’ouvrir les yeux et de comprendre que depuis plusieurs mois nous sommes soumis à une gigantesque manipulation mentale et émotionnelle ; nous sommes victimes d’une énorme opération d’ingénierie sociale, sans précédent dans l’histoire de l’humanité, réalisée en vue de la mise en place, à court ou moyen terme, d’un gouvernement totalitaire à l’échelle planétaire.

Par principe de précaution : ne jamais croire les médias “officiels” (TF1, LCI, BFMTV, Cnews, France Info…) ni les gouvernements. Les premiers sont au service des seconds et ceux-là sont les pires ennemis du peuple (de Viguerie). Les deux appartiennent à la finance apatride. Le politique n’existe plus : il n’y a plus que des apparences pour mieux tromper les peuples (Valérie Bugault).

Mais il est surtout temps de prendre au sérieux les enseignements du Christ : « Nul ne peut servir deux maîtres : car, ou il haïra l’un et aimera l’autre, ou il s’attachera à l’un et méprisera l’autre. Vous ne pouvez servir Dieu et la Richesse… Cherchez premièrement le royaume de Dieu et sa justice, et tout le reste vous sera donné en plus. » (Mt 6, 24 & 33)

Les peuples ont abandonné le Christ, sa doctrine et sa morale… Et l’on s’étonne que le monde soit gouverné par le “prince de ce monde” : Satan. Les hommes vivent et boivent le péché comme de l’eau : luxure et fornication, colère et violence, avarice et lâcheté, orgueil et vanité… Et l’on s’étonne que le monde soit dirigé par des personnes hypocrites et cruelles, orgueilleuses et égoïstes, belliqueuses et menteuses. Le Christ appelait cette sorte de gens une “race de vipères” (Mt 23,33) « parce que, à la ressemblance de ces bêtes, ils se comportaient de façon tortueuse et faisaient tort aux autres. “Gardez-vous, dit-il en effet, du levain des Pharisiens et des Sadducéens” (Mt 16,6). Il disait également à propos d’Hérode “Allez dire à ce renard…” (Lc 13,32), signifiant par là son astuce et sa fourberie. »[1] Il les appelait encore “fils du diable” parce qu’ils font “ses œuvres […] ils se rattachent au diable, qui est devenu l’initiateur et la cause originelle de l’apostasie tant pour lui-même que pour les autres. »[2]

Comment se fait-il que la masse soit encore prête à croire un gouvernement qui, à un mois d’intervalle et parlant sous la prétendue autorité d’un anonyme conseil “scientifique”, affirme, en pleine prétendue “crise sanitaire”, qu’il est déconseillé de porter un masque et qui, après la fin de la prétendue “crise sanitaire”, déclare qu’il est obligatoire de porter un masque… Comment une telle imposture politico-médiatique, qui réalise une expérience grandeur nature d’ingénierie sociale mondiale de contrôle total des masses, peut à ce point réussir ?

Au-delà des techniques de manipulation et de propagande, au-delà des sommes colossales d’argent dont disposent les suppôts de Satan, au-delà de la veulerie et de la corruption des élites mondialistes en marche, la plus profonde des raisons, et donc la moins évidente, est que par un juste châtiment et retour des choses, le “dieu de ce siècle” aveugle l’intelligence de l’homme qui par refus de “l’amour de la vérité” refuse de se soumettre à la réalité et aux exigences des lois divines et naturelles.

Seul le rejet massif de Dieu peut expliquer la situation affligeante et l’imposture monstrueuse en place :

« En ce qui concerne l’avènement de notre Seigneur Jésus-Christ et notre réunion avec lui […] auparavant viendra l’apostasie, et se manifestera l’homme de péché, le fils de la perdition, l’adversaire qui s’élève contre tout ce qui est appelé Dieu ou honoré d’un culte, jusqu’à s’asseoir dans le sanctuaire de Dieu, et à se présenter comme s’il était Dieu […] Cet impie sera, par la puissance de Satan, accompagné de toutes sortes de miracles, de signes et de prodiges mensongers, avec toutes les séductions de l’iniquité, pour ceux qui se perdent, parce qu’ils n’ont pas ouvert leur cœur à l’amour de la vérité qui les eût sauvés. C’est pourquoi Dieu leur envoie des illusions puissantes qui les feront croire au mensonge, en sorte que tombent sous son jugement tous ceux qui ont refusé leur foi à la vérité, et ont au contraire pris plaisir à l’injustice. Pour nous, nous devons rendre à Dieu de continuelles actions de grâces pour vous, frères bien-aimés du Seigneur, de ce que Dieu vous a choisis dès le commencement pour vous sauver par la sanctification de l’Esprit et par la foi en la vérité. C’est à quoi il vous a appelés par notre prédication de l’Évangile, pour vous faire acquérir la gloire de notre Seigneur Jésus-Christ. Ainsi donc, frères, demeurez fermes et gardez les enseignements que vous avez reçus. Que notre Seigneur Jésus-Christ lui-même, que Dieu notre Père, qui nous a aimés et nous a donné par sa grâce une consolation éternelle et une bonne espérance, console vos coeurs et vous affermisse en toute bonne œuvre  et bonne parole ! » (II Thess 2, 1-17).

 

 

Abbé Rioult
3 juillet 2020

 

Bibliographie

Partie 1 : https://www.bitchute.com/video/vAJW27GPxWNN/
Partie 2 : https://www.bitchute.com/video/XIU1hEGudDFK/
Partie 3 : https://www.bitchute.com/video/cufba7hQuWTT/

  • Abbé Olivier Rioult, De la question juive – Synthèse, Editions Saint Agobard 2018. 454 pages – 21 €

 

[1] Saint Irénée, Contre les hérésies, Livre IV, 41, 3.

[2] Saint Irénée, Contre les hérésies, Livre IV, 41, 3.