Le journal Rivarol a reçu, les 19 et 20 novembre 2020, deux courriels de M. Philippe Ploncard d’Assac, président des Cercles nationalistes français et de la Société de Philosophie politique. Ce dernier reprochait à Jérôme Bourbon de « défendre Ryssen le “judéologue” (!), dans les colonnes de RIVAROL, occultant ainsi son retournement de veste ainsi que ses contacts juifs. »

M. Philippe Ploncard d’Assac exigeait que Jérôme Bourbon choisisse « publiquement » entre Ryssen et lui-même : « vous êtes libre de choisir votre camp, comme je suis libre de vous mettre en garde envers votre appui à un traître qui, jusqu’ici, n’a exprimé aucun regret, ni de son engagement sioniste, ni de son comportement à mon égard et envers mes collaborateurs. »

Et il prévenait que si Jérôme Bourbon continuait « à soutenir les Ryssen, Benedetti, Rouanet […] nous continuerons à nettoyer les écuries d’Augias froidement et systématiquement, en espérant, tout de même, ne pas devoir vous inclure dans la liste… […] Suivez donc la route que vous avez choisie.  […] Bien sûr à nouveau je me réserve le droit de rendre ma réponse publique. »

Depuis, Monsieur Jérôme Bourbon lui a répondu, en homme avisé et prudent, qu’il choisissait  évidement de suivre sa route. Sa réponse est remarquable à plus d’un titre, par sa qualité littéraire, par son équilibre politique, par sa simple humanité et enfin par sa profondeur religieuse.

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