Un Pèlerinage de Pentecôte, organisé par la Société des Apôtres de Jésus et de Marie (SAJM) (sajm.pelerinage@gmail.com), était prévu pour les 20 et 21 mai 2018 au Puy-en-Velay. Formulaire d’inscription et programme du pèlerinage avaient été envoyés et une Messe pontificale était même annoncée. Mais le 4 mai 2018, Mgr Faure envoyait aux participants du pèlerinage ce mot manuscrit que nous reproduisons ici exactement :
« Bien chers Amis,
« La très Sainte Vierge Marie et Notre Seigneur vous récompenseront au centuple la belle décision que vous aviez prise de nous rejoindre au Pèlerinage du Puy. Elle saura reconnaître les siens. Mgr Williamson et moi-même avons le très grand regret de devoir vous informer que, pour des raisons étrangères à notre volonté, nous nous sommes vus dans l’obligation de renoncer à l’organisation du Pèlerinage et de vous retourner le chèque que vous aviez bien voulu nous adresser.
« Nous vous prions de bien vouloir nous excuser pour cette grande déception et nous espérons pouvoir vous rencontrer lors d’une prochaine réunion sans aucun risque cette fois de ne pas respecter nos engagements. Nous vous adressons notre bénédiction épiscopale et vous assurons de nos prières et de nos sentiments dévoués in Christo et Maria. + Jean Michel Faure. »
Ce discours correspond-il à la réalité ? Pour le savoir, il suffit de prendre connaissance des faits suivants.
Ce Pèlerinage a été créé et organisé par l’Association Saints Mayeul et Martin (ASMM) en vue du Grand Jubilé de 2016. À cette occasion, M. l’abbé Pinaud, lors de sa prédication, demanda publiquement s’il ne serait pas opportun de renouveler ce pèlerinage chaque année. Lors du repas qui réunissait les autres prêtres du pèlerinage, Mgr Faure, le Père Bruno, un père dominicain, les abbés Pivert, Rioult et Salenave approuvèrent tous unanimement ce souhait vus la centralité et l’importance de ce sanctuaire marial.
En 2017, comme convenu, l’Association Saints Mayeul et Martin invita ces prêtres au pèlerinage. Mais, mis à part les abbés Pinaud, Pivert, Rioult et un Père dominicain, les autres prêtres trouvèrent des raisons pour ne plus y participer. M. l’abbé Salenave se justifia en disant ne pas pouvoir « collaborer avec les sédévacantistes » (sic), le Père Bruno donna aux fidèles la consigne de privilégier pour cette année les petits pèlerinages locaux et Mgr Faure, qui envisagea même un pèlerinage à Reims, fit savoir, par M. N., qu’il ne donnerait pas suite à l’invitation en raison d’un prétendu conflit doctrinal avec l’abbé Pinaud… Quant à Mgr Williamson, qui avait lui aussi décliné l’invitation, il y vint finalement, par amitié pour l’un des responsables de l’Association. À cette occasion, il administra plusieurs confirmations et célébra la messe du dimanche devant 300 pèlerins. Lors de son sermon, à deux reprises, Mgr Williamson affirma ne pas savoir si « François était pape… Dieu seul sait. »
À la fin de ce pèlerinage, l’Association Saints Mayeul et Martin se vit dans l’impossibilité de réserver les lieux pour 2018, car ceux-ci étaient déjà retenus par un groupe dénommé Les Agapes. L’Association Saints Mayeul et Martin réserva alors les lieux pour l’année 2019 et demanda au responsable d’être prévenu en cas de désistement. Puis l’Association envisagea plusieurs lieux de remplacements : Roc-Amadour, la Salette… Mais, le 21 janvier 2018, Mgr Faure répondait aux vœux du président de l’Association de la manière suivante :
« Chers amis. Je vous remercie de vos vœux. Nous avons étudié la question avec nos amis de Paris et nous pensons que le pèlerinage au Puy est réalisable. Nous avons l’appui de Mgr Williamson et des RP Dominicains. Je vous demande de bien vouloir transmettre mon invitation à M. l’abbé Pinaud. Le groupe de Paris est décidé à s’y rendre. Que Dieu vous bénisse. +JMF »
L’invitation de M. l’abbé Pinaud était-elle un signe d’amitié ou de machiavélisme ? La suite nous le montrera. Quant au fameux groupe parisien, il se réduisait, semble-t-il, à deux personnes. Ce même jour donc, qui était un dimanche, Mgr Faure, célébrant la messe chez les N. à Vernouillet, et afin de donner plus de consistance à ce « groupe de Paris décidé de s’y rendre… », fit un long sermon pendant lequel il insista sur la nécessité d’aller prier à Notre Dame du Puy pour que la sainte Vierge fasse un miracle au Chapitre Général de la FSSPX… La démarche ne manqua pas de surprendre !
Autre surprise : le séminaire du Puy, en raison d’un désistement du groupe Les Agapes, avait été réservé par la SAJM, sans que l’Association Saints Mayeul et Martin ait été avertie de sa mise en disponibilité.
Le 26 janvier 2018, le président de l’Association Saints Mayeul et Martin écrivait à Mgr Faure : « […] L’opération réalisée au nom de la SAJM nous consterne. Il eût été loyal et dans l’ordre des choses que celui ou ceux qui ont appris la possibilité inattendue de louer le Grand Séminaire en avertissent l’ASMM afin que nous puissions assumer la continuité de ce que nous avons fondé. Et si Mgr Williamson et les RP Dominicains donnent leur appui de principe à un pèlerinage au Puy (comme ils l’avaient fait précédemment), nous n’osons croire qu’ils approuvent que cela s’organise à l’insu du groupe de fidèles d’Auvergne qui l’a initié en 2016, faut-il le rappeler, avec le soutien, à l’époque, de l’USML, et continué en 2017, à la demande de tous les évêques et prêtres ayant participé au premier. »
Le lendemain, les membres du Conseil de l’Association Saints Mayeul et Martin adressèrent à leur tour le message suivant à Mgr Faure au sujet de cette « tentative d’appropriation du pèlerinage du Puy 2018 » : « […] Tous les membres ont exprimé leur réprobation et condamnent cette attitude qui ne pourra que jeter le discrédit sur l’organisation et par ricochet sur la Résistance entière, et créer déceptions et divisions parmi les fidèles. Pour l’honneur, la justice et la paix, tout en maintenant votre présence et celle du groupe de Paris décidé à s’y rendre, ils vous suggèrent unanimement de conserver l’organisation du pèlerinage 2018 à l’ASMM, comme les deux années précédentes, et de le leur confirmer dans les meilleurs délais pour des raisons évidentes d’organisation. Depuis la Pentecôte 2017, l’ASMM a réservé le Grand Séminaire du Puy pour le pèlerinage de Pentecôte 2019. Il est donc inutile que monsieur N., au nom de la SAJM, tente de le faire comme il s’y est essayé le 24 janvier dernier. Dans l’attente de vous lire, ils vous assurent, Monseigneur, de leur filial respect et leur prière auprès de Notre-Dame-du-Puy. »
Ces messages ne reçurent de la part de Mgr Faure aucune réponse. Les semaines passèrent… Puis, le 24 mars 2018, à Paris, le président de l’Association Saints Mayeul et Martin eut l’occasion de rencontrer Mgr Faure pendant une demi-heure. Il ressortit de cette rencontre, que Mgr Faure, parce qu’il était évêque, pouvait, sans explication, s’accaparer un pèlerinage qui ne lui appartenait pas…
Le 11 avril 2018, M. l’abbé Pinaud répondait à l’invitation de Mgr Faure : « Je serai bien évidemment présent au Puy 2018 », parce « j’y était la 1ère et la 2ème fois » et aussi « parce que votre invitation est rassurante, car la rumeur m’était parvenue l’an dernier, m’apprenant qu’un contentieux doctrinal vous aurait empêché d’être présent au Puy l’an dernier. J’interprète donc votre initiative comme le signe d’un apaisement légitime et m’en réjouis. »
Le 19 avril, M. l’abbé Rioult annonçait à Mgr Faure qu’il comptait aussi participer au pèlerinage se réjouissant de ce temps d’« amitié sacerdotale qui aurait toujours dû régir nos rapports et tout à fait logique avec la liberté du “non una cum” que [Mgr Faure avait] approuvé lors de nos réunions USML. » M. l’abbé Rioult demandait aussi à Mgr Faure de lui « consacrer un entretien privé d’environ une demi-heure ou plus si vous le désirez. A moins que vous préfériez un dialogue en public. À vous de voir. Cela fait longtemps que nous n’avons pas pu nous rencontrer et nous avons tellement de choses à nous dire. »
Après des semaines de silence, mais quelques jours seulement après ce courriel, le président de l’Association Saints Mayeul et Martin recevait un message de M. N. qui proposait, au nom de la SAJM, de lui rendre, tout compte fait, l’organisation du pèlerinage… La proposition était tardive. Vu le court délai qu’il restait pour assumer une telle organisation, le président de l’Association, avant de prendre sa décision, demanda la communication de la liste des inscrits et des prêtres participants… Il ne reçut pas de réponse sinon un message de Mgr Williamson qui lui confiait avoir inspiré l’initiative de rendre l’organisation du pèlerinage à l’ASMM. Mais surtout Mgr Williamson y dévoilait ce qu’il estimait être les véritables raisons de cette tentative avortée de récupération du pèlerinage, à savoir : « l’impossibilité de collaboration avec les abbés Pinaud et Rioult » en raison de leur « non una cum ». Pourtant, à peine quelques mois auparavant, Mgr Williamson avait déclaré à l’abbé Pinaud que la seule chose à faire dans notre situation était de « préserver l’amitié entre nous » (sic) ! Là encore, on est en droit de se demander si ces paroles étaient un signe d’amitié ou autre chose…
Quoiqu’il en soit, les justifications de Mgr Williamson restent déconcertantes puisque, par ailleurs, il ne cache pas sa satisfaction de voir M. l’abbé Ortiz collaborer avec l’abbé sédévacantiste Mac Mahon à Washington ; tous les deux étant vicaires de M. l’abbé Ringrose qui, lui aussi, est « non una cum ». De plus, ce dernier publiait récemment, dans son bulletin, une juste critique de la position théologique d’une certaine Résistance : « La position “Reconnaître et Résister” (R&R) tient que nous devons reconnaître l’autorité du pape mais résister à ses enseignements erronés ou ses ordres mauvais. Les bons catholiques sont tombés à tort dans cette erreur dans leur volonté de protéger l’enseignement de l’Église disant que le pape doit avoir des successeurs perpétuels et que d’une façon ou d’une autre il devra toujours y avoir une hiérarchie. La position R&R ne peut être tenue car elle ignore un autre enseignement clair de l’Église disant que le pape ne peut enseigner l’erreur ou imposer des pratiques et des lois mauvaises ou nuisibles en vertu de la garantie de Notre-Seigneur et de l’assistance spéciale du Saint-Esprit. Si nous reconnaissons l’autorité du pape d’enseigner et de diriger l’Église en matières de foi et de morale, nous n’avons pas d’autre choix que de soumettre notre intelligence et d’obéir, car ne pas faire cela serait manquer à nous soumettre au Christ lui-même, par l’autorité duquel et au nom duquel le pape parle. »
Il est donc difficile d’apprécier la cohérence des raisons avancées par Mgr Williamson. Et cela à plus d’un titre.
En 2015, Mgr Faure n’était nullement gêné par le “non una cum” de M. l’abbé Pinaud puisqu’il lui proposait alors la direction de son séminaire.
En 2016, lors d’une réunion de l’USML, Mgr Faure acceptait le principe de « l’ordination de séminariste “non una cum.” »
En 2017, ni Mgr Williamson ni Mgr Faure ne furent gênés par le “non una cum” de M. l’abbé Ringrose qui offrait l’hospitalité pour la cérémonie du sacre de M. l’abbé Zendejas. Mgr Williamson semblait d’ailleurs n’attacher que peu d’importance à cette question puisque, par deux fois, il supplia M. l’abbé Pinaud de prendre la direction du séminaire de Mgr Faure.
Enfin, Mgr Williamson lui-même, n’hésita pas, par le passé, à célébrer une messe “non una cum” chez M. l’abbé Guépin…
Être “non una cum” signifie que l’on s’abstient de nommer le nom du Pape au Canon de la Messe, et cela en raison des hérésies qu’il professe publiquement, car c’est la pratique de l’Église catholique de ne pas prier “una cum”, en union avec, les hérétiques ni de les nommer au canon de la messe. Dom Guéranger l’explique fort clairement dans ses Explications de la Sainte Messe : « il est nécessaire d’être dans cette foi pour être compris dans le nombre de ceux dont la sainte Église fait mention. La sainte Église, en appuyant sur ces mots “omnibus orthodoxis atque catholicæ et apostolicæ fidei cultoribus”, nous montre bien qu’Elle ne prie pas ici pour ceux qui n’ont pas la foi, qui ne sont pas bien pensants ni orthodoxes, et qui ne tiennent pas leur foi des Apôtres. »
Or, en ce qui concerne François, ses hérésies sont si fréquentes et si publiques que la Correctio filialis de hæresibus propagatis qui lui fut adressée le 16 juillet 2017 a relevé une liste non exhaustive de sept hérésies rien que dans son exhortation Amoris Lætitia, c’est-à-dire sept « propositions qui contredisent des vérités qui sont divinement révélées et que les catholiques doivent croire avec l’assentiment de la foi divine. »
Le “non una cum” n’est donc que la conséquence logique et liturgique d’une situation théologique. Pourtant, c’est en raison du “non una cum” de M. l’abbé Roy que Mgr Williamson et Mgr Zendejas refusent de donner le sacrement de confirmation à ses fidèles. « Je travaille avec l’abbé Ringrose, qui est effectivement sédévacantiste, alors que je refuse de collaborer avec vous… » lui écrivait Mgr Williamson, tout en refusant d’y voir « deux poids, deux mesures ». Il justifiait son attitude par un argument plus que surprenant : M. l’abbé Ringrose est un vieil ami depuis plus de trente ans… et pas l’abbé Roy : « Hélas, avant que vous n’ayez derrière vous un bilan de trente années pour égaliser celui de l’abbé Ringrose, je mangerai les pissenlits par la racine » concluait Mgr Williamson.
Le “non una cum” n’est donc pas la vraie raison de l’annulation du pèlerinage du Puy mais un mauvais prétexte. Quelle est donc la vraie raison ? Pourquoi toutes ces manœuvres ? Mgr Faure et Mgr Williamson peuvent sacrer M. l’abbé Zendejas chez M. l’abbé Ringrose qui est “non una cum” mais ils annulent un pèlerinage organisé par eux parce que certains confrères “non una cum” invités par eux seront présents… Comprenne qui pourra !
En tout cas, ces simples faits manifestent à l’évidence que la vraie raison de l’annulation du pèlerinage du Puy n’est pas d’ordre théologique mais d’ordre psychologique. Car, raisonnablement, Mgr Faure ne pouvait pas écrire : « Mgr Williamson et moi-même avons le très grand regret de devoir vous informer que pour des raisons étrangères à notre volonté, nous nous sommes vus dans l’obligation de renoncer à l’organisation du Pèlerinage. »
Il est à souhaiter que la véritable raison de tous ces agissements ne soit pas du même ordre que ceux du premier évêque d’Alger envers sainte Émilie de Vialar. Mgr Dupuch, au mépris du bon sens et du droit, de l’intérêt de son diocèse et de sa population, s’était obstiné à poursuivre une politique de persécution et de calomnie contre les religieuses de sainte Émilie de Vialar qui se dévouaient en Algérie, et cela jusqu’à les exclure injustement du diocèse. Un biographe de sainte Émilie de Vialar a cherché les raisons d’un si étrange comportement. Nous livrons ici son analyse tout autant pour les férus d’histoire ecclésiastique que pour les étudiants en psychologie :
« Mgr Dupuch était l’homme le moins fait pour la dignité et la charge qui lui sont échues. Pour comble, du fait d’un choix royal, il se trouvait mis à la tête du plus difficile des diocèses, à la fois métropolitain et missionnaire, où tout était à créer, à construire, à imaginer, où n’existaient encore aucun cadre, aucune administration ecclésiastiques. À celui qui n’eût pas convenablement dirigé le plus petit diocèse de France, on ne demandait pas moins que la fondation de l’Église d’Alger.
« Ce complexe d’infériorité, dont Mgr Dupuch avait plus ou moins claire conscience, a exaspéré son amour-propre, qui était grand, et lui faisait, au témoignage d’un juge bien informé, préférer ses propres idées à toutes autres. Ce complexe a renforcé aussi en lui l’autoritarisme qui est le fait des hommes naturellement dépourvus d’autorité ; il lui a été d’autant plus douloureusement sensible qu’il avait en face de lui une femme supérieure. Ne pouvant la dominer, ni même égaler, par le jeu d’une supériorité personnelle, il tenta de l’asservir par l’argument d’autorité, manié comme une massue. Ayant débuté de la sorte, il se trouva pris dans son propre engrenage d’actes et de paroles. Revenir en arrière, c’était encore diminuer, à ses yeux, les chances d’un prestige qu’il s’efforçait en vain d’acquérir. C’est ainsi qu’il se trouva amené à des procédés et des manœuvres en flagrante contradiction avec certaines de ses qualités […].
« Par la ruse, l’astuce et l’intrigue, il s’efforce d’obtenir ce que l’injonction impérative ne parvient pas à lui donner. De surcroît, aucune finesse psychologique, aucune souplesse dans le maniement de ses administrés. […] Le comportement habituel de Mgr Dupuch a pris en raison de l’envergure de Mère Émilie de Vialar, un relief particulier dans le cas des Sœurs de Saint-Joseph. Mais que de cas analogues, où il se manifeste identique ! Au reste, la suite de sa lamentable histoire va, en se précipitant, témoigner des écrasantes déficiences de [l’évêque]. Mgr Dupuch a creusé de ses propres mains le gouffre où il va tomber. […]
« Le 9 décembre 1845, il doit adresser au Saint-Siège et au roi sa démission. Il y est acculé. Pourquoi ? Une note ministérielle confidentielle, du 3 février 1846, nous le dit : “De graves désordres d’administration, des dettes contractées sans possibilité d’y faire honneur, le scandale plus d’une fois répété de traites protestées, une conduite inintelligente et sans dignité déconsidérant l’autorité et faisant vivement sentir la nécessité de prendre parti.” Mgr Dupuch, traqué par ses créanciers, doit donc quitter précipitamment son évêché et se cacher. » (Gaëtan Bernoville, Émilie de Vialar, Arthème Fayard, 1953, pp. 162-165)
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L’Écriture enseigne qu’il y a « un temps pour se taire, et un temps pour parler ». Nous avons longtemps cru qu’il était préférable de se taire, mais force est de constater que certains perdent toute retenue devant notre silence ; c’est la raison de notre intervention.
Qu’on sache bien que nous n’avons fait qu’effleurer un problème qui est beaucoup plus profond que cela et nous espérons ne pas devoir le mettre davantage en lumière. La partie invisible de l’iceberg, s’il nous fallait l’exposer à l’avenir, pourrait en surprendre plus d’un.
Pax et Veritas
Le notaire de la Sapinière.