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La Clef des Écritures – Traité

Traité contre les juifs et les gentils qui rejettent, pour des motifs opposés mais en raison d’une même lecture charnelle, l’admirable harmonie de l’Ancien et du Nouveau Testament, de la lettre et de l’esprit, l’Ancien étant la prophétie du Nouveau et le Nouveau la réalisation de l’Ancien, et ce par une méconnaissance du Christ, l’unique clef des Saintes Écritures, qui seul donne la parfaite intelligence de l’histoire du salut de l’humanité.

Dans l’antiquité, ils s’appelaient Marcion, Celse, Manès, Fauste… De nos jours, ils se nomment Soral, Timmerman, Guyénot, Hindi, Soler, Römer, Finkelstein… Tous, pour diverses raisons, sont des détracteurs de l’Ancien Testament et rejettent son origine divine. La lecture partiale, grossière et charnelle qu’ils en font, même quand c’est pour la condamner, correspond en fait à la lecture pharisaïque codifiée par les talmudistes et assumée de manière mythique par les sionistes.

Malgré la différence de leurs principes, le sophisme philosophique et la superstition juive aboutissent aux mêmes conséquences : la négation de l’unité du plan divin. Les juifs soutiennent que le Christ n’a pas pu être annoncé par les prophètes de l’Ancienne Alliance au prétexte que l’Évangile qu’il a prêché contredisait leur Loi qui les obligeait de se séparer des non juifs. Et les hérétiques, eux, soutiennent que l’Évangile, la Bonne Nouvelle du salut pour tous les peuples sans distinction, ne peut avoir aucun rapport avec l’Ancienne Alliance puisqu’il a justement aboli le mur de séparation qu’était la loi juive.

L’Église catholique récuse ces interprétations erronées, qu’elles soient judaïques ou hérétiques. Pour les Pères, ces « ennemis des saintes Lettres montrent une égale ignorance de l’un et de l’autre Testament. » Car le mosaïsme bien compris, mais non sa trahison talmudique, n’a été que la préparation du christianisme. Tertullien, Origène, saint Irénée, saint Hilaire, saint Augustin et bien d’autres ont démontré contre les hérétiques la divinité de la loi mosaïque, et contre les juifs son abrogation ou son accomplissement. Là où les hérétiques imaginent une antithèse, il y a harmonie parfaite ; et là où les juifs rêvent d’un Messie à venir, ou plutôt de sa caricature tribale, il y a l’œuvre universelle et spirituelle du Christ, déjà réalisée comme annoncée par les prophéties.

Pour comprendre les Saintes Écritures, il faut donc dépasser l’intelligence de la lettre et en saisir l’esprit. « L’Écriture sainte, dit saint Grégoire le Grand, par la manière même dont elle s’exprime, dépasse toutes les sciences ; car, dans un seul et même discours, tout en racontant un fait, elle livre un mystère. » Adam, Abel, Noé, Abraham, Isaac, Jacob, Juda, Joseph, Moïse, la sortie d’Égypte, l’Alliance du Sinaï avec ses sacrifices et ses fêtes, Josué, David, Salomon, avec le temple et son grand prêtre, l’endurcissement même de Juda et la ruine de la nation-religion israélite, tout cela forme un seul et même grand mystère que ce Traité va dévoiler, pour la confusion des uns et l’instruction des autres. Les paroles de Dieu sont en effet “ esprit et vie” (Jn 6, 53). Or, “la lettre tue mais l’esprit vivifie” (II Cor 3, 6).

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Le Covidisme dans la Révolution Mondiale et l’Apocalypse de saint Jean

La sapinière.info invite chaleureusement ses lecteurs à faire trois choses :

1. Premièrement de prendre le temps de visionner les judicieuses vidéos et analyses du brillant Boris le Lay :

La première sur l’imposture covidienne (https://rumble.com/vrnam1-covid22.html) & la seconde sur le discours du psychopathe de l’Élysée au service des Rothschild (https://rumble.com/vrzedt-great-reset-vous-ne-serez-plus-des-citoyens-mais-des-esclaves-macron.html)

2. Puis deuxièmement de lire, et de faire lire, la remarquable synthèse et le témoignage d’un Médecin généraliste, Serge Suline, dans son livre diffusé par CSRB-diffusion : Le Covidisme dans la Révolution Mondiale (https://csrb.fr/collections/csrb-diffusion/products/le-covidisme-dans-la-revolution-mondiale)

L’humanité est en train de vivre l’un de ses derniers combats qui est avant tout un combat entre Mammon et le Christ, entre la descendance du serpent et les enfants de Dieu. Le covidisme n’est qu’une supercherie des enfants des ténèbres. Emmanuel Macron, comme tant d’autres valets au ordre du système, a déclaré, au nom de ses vrais chefs et sous prétexte de crise sanitaire la guerre contre son peuple, afin d’accélérer la mise en place de la tyrannie mondiale et globaliste. Ce projet totalitaire et “transhumaniste” n’est que l’utopie luciférienne qui cherche à détruire, par le mensonge et le sang, l’œuvre de Dieu sur les âmes. Pour le saisir, il faut montrer que Macron nous ment et pourquoi il nous ment. Le Covidisme dans la Révolution Mondiale, témoignage d’un Médecin généraliste, participera à l’éveil des consciences et pourra contribuer à sortir les âmes de bonne volonté de l’impasse et de l’abîme dans lesquels le prince de ce monde veut plonger l’humanité.

Car n’oublions pas que ce qui est en jeu est au final le salut ou la perte éternelle de nos âmes.

Le monde matériel, notre terre, va de tout façon mourir et pas de mort naturelle, mais de mort violente ; ou pour mieux dire – puisque Dieu est un Dieu de vie et non pas de mort – d’une mort miraculeuse. L’Univers n’est pas un processus naturel, comme le pensent les évolutionnistes ou naturalistes, mais un poème dramatique dont les strophes s’appellent en théologie : Création, Rédemption, Parousie.

Le monde moderne, en rejetant sa vocation divine, ne comprend pas et ne pourra jamais comprendre ce qui lui arrive… S’étant détourné du Christ, il a inventé des systèmes, à la fois fantastiques et atroces, pour sauver l’humanité. Il est sur le point de donner naissance à une nouvelle religion. Il veut construire une nouvelle tour de Babel qui arrive jusqu’au ciel. Il veut reconquérir le jardin d’Eden avec les seules forces humaines. Elle exalte l’homme comme si ses forces étaient infinies. Elle promet à l’homme le royaume de Dieu et le paradis sur la terre par ses propres forces. L’adoration de la Science, l’espoir dans le Progrès et la monstrueuse Religion de la Démocratie, ne sont qu’idolâtrie de l’homme ; autrement dit, le fond satanique de toutes les hérésies, à présent à l’état pur… Le covidisme n’est qu’une étape dans ce projet satanique.

3. C’est pourquoi, troisièmement, et plus que jamais, il est temps de lire et de méditer l’apocalypse de saint Jean pour sortir victorieux de ce combat de géants. Nous vous confions ici les extraits les plus importants, les plus urgents et les plus consolants à méditer :

« Révélation de Jésus-Christ, que Dieu lui a confiée pour découvrir à ses serviteurs les événements qui doivent arriver bientôt… Jean aux sept Eglises qui sont en Asie : grâce et paix vous soient données de la part de Celui qui est, qui était et qui vient, et de la part des sept esprits qui sont devant son trône, et de la part de Jésus-Christ… « Je suis l’alpha et l’oméga » [le commencement et la fin], dit le Seigneur Dieu, celui qui est, qui était et qui vient, le Tout-Puissant. (ch. 1)

« Écris encore à l’ange de l’Église de Philadelphie : Parce que tu as gardé ma parole sur la patience, moi aussi je te garderai de l’heure de l’épreuve qui va venir sur le monde entier, pour éprouver les habitants de la terre. Voici que je viens bientôt : tiens ferme ce que tu as, afin que personne ne ravisse ta couronne…. Voici que je me tiens à la porte et je frappe : si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerai chez toi, je souperai avec lui et lui avec moi. Celui qui vaincra, je le ferai asseoir avec moi sur mon trône comme moi aussi j’ai vaincu et me suis assis avec mon Père sur son trône (ch. 3)

« Et je vis, quand il eut ouvert le sixième sceau, qu’il se fit un grand tremblement de terre, et le soleil devint noir comme un sac de crin, la lune entière parut comme du sang, et les étoiles du ciel tombèrent vers la terre, comme les figues vertes tombent d’un figuier secoué par un gros vent. Et le ciel se retira comme un livre qu’on roule, et toutes les montagnes et les îles furent remuées de leur place. Et les rois de la terre, et les grands, et les généraux, et les riches, et les puissants, et tout esclave ou homme libre se cachèrent dans les cavernes et les rochers des montagnes, et ils disaient aux montagnes et aux rochers : « Tombez sur nous et dérobez-nous à la face de Celui qui est assis sur le trône et à la colère de l’Agneau ; car il est venu le grand jour de sa colère, et qui peut subsister ? » (ch. 6)

« La troisième partie des hommes fût tuée par le feu, par la fumée et par le soufre qui sortaient de leur bouche. Car le pouvoir de ces chevaux est dans leur bouche et dans leurs queues : car leurs queues, semblables à des serpents, ont des têtes, et c’est avec elles qu’ils blessent. Les autres hommes, qui ne furent pas tués par ces fléaux, ne se repentirent pas non plus des œuvres de leurs mains, pour ne plus adorer les démons et les idoles d’or, d’argent, d’airain, de pierre et de bois, qui ne peuvent ni voir, ni entendre, ni marcher, et ils ne se repentirent ni de leurs meurtres, ni de leurs enchantements, ni de leur impudicité, ni de leurs vols. (ch. 9)

« Puis je vis monter de la mer une bête qui avait sept têtes et dix cornes, et sur ses cornes dix diadèmes, et sur ses têtes des noms de blasphème… Et il lui fut donné une bouche proférant des paroles arrogantes et blasphématoires, et il lui fût donné pouvoir d’agir pendant quarante-deux mois… Et il lui fut donné de faire la guerre aux saints et de les vaincre ; et il lui fût donné autorité sur toute tribu, tout peuple, toute langue et toute nation. Et tous les habitants de la terre l’adoreront, ceux dont le nom n’a pas été écrit dans le livre de vie de l’Agneau immolé, dès la fondation du monde. Que celui qui a des oreilles entende !… Puis je vis monter de la terre une autre bête, qui avait deux cornes semblables à celles d’un agneau, et qui parlait comme un dragon… et elle séduisait les habitants de la terre par les prodiges qu’il lui était donné d’opérer en présence de la bête, persuadant les habitants de la terre de dresser une image à la bête qui porte la blessure de l’épée et qui a repris vie. Et il lui fut donné d’animer l’image de ta bête, de façon à la faire parler et à faire tuer tous ceux qui n’adoreraient pas l’image de la bête. Elle fit qu’à tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, on mit une marque sur la main droite ou sur le front, et que nul ne pût acheter ou vendre, s’il n’avait pas la marque du nom de la bête ou le nombre de son nom. C’est ici la sagesse ! Que celui qui a de l’intelligence compte le nombre de la bête; car c’est un nombre l’homme et ce nombre est six cent soixante-six. (ch. 13)

« Puis je vis un autre ange qui volait par le milieu du ciel, tenant l’Evangile éternel, pour l’annoncer aux habitants de la terre, à toute nation, à toute tribu, à toute langue et à tout peuple. Il disait d’une voix forte : « Craignez Dieu et donnez-lui gloire, car l’heure de son jugement est venue; adorez Celui qui a fait le ciel et la terre, la mer et les sources des eaux. » Et un autre ange suivit, en disant : « Elle est tombée, elle est tombée, Babylone la grande, qui a abreuvé toutes les nations du vin de la fureur de son impudicité ! » Et un troisième ange les suivit, en disant d’une voix forte : « Si quelqu’un adore la bête et son image, et en prend la marque sur son front ou sur sa main, il boira, lui aussi, du vin de la fureur de Dieu, du vin pur versé dans la coupe de sa colère, et il sera tourmenté dans le feu et dans le soufre, sous les yeux des saints anges et de l’Agneau. Et la fumée de leur supplice s’élèvera aux siècles des siècles, et il n’y aura de repos, ni jour ni nuit, pour ceux qui adorent la bête et son image, ni pour quiconque aura reçu la marque de son nom. » C’est ici que doit se montrer la patience des saints, qui gardent les commandements de Dieu et la foi en Jésus. (ch. 14)

« Les rois de la terre qui se sont livrés avec elle à l’impudicité et au luxe, pleureront et se lamenteront sur sort, quand ils verront la fumée de son embrasement. Se tenant à distance, par crainte de ses tourments, ils diront « Malheur ! Malheur! O grande ville, Babylone, ô puissante cité, en une heure est venu ton jugement ! » Et les marchands de la terre pleurent et sont dans le deuil à son sujet, parce que personne n’achète plus leur cargaison… (ch. 18)

« Après cela, j’entendis dans le ciel comme une grande voix d’une foule immense qui disait ; « Alléluia ! Le salut, la gloire et la puissance appartiennent à notre Dieu, parce que ses jugements sont vrais et justes. Il a jugé la grande prostituée qui corrompait la terre par son impudicité, il a vengé le sang de ses serviteurs répandu par ses mains. »… Et j’entendis comme la voix d’une foule immense disant : « Alléluia! car il règne, le Seigneur notre Dieu, le Tout-Puissant ! Réjouissons-nous, tressaillons d’allégresse et rendons-lui gloire ; car les noces de l’Agneau sont venues, et son épouse s’est préparée, et il lui a été donné de se vêtir de lin fin, éclatant et pur. » Ce fin lin, ce sont les vertus des saints. Et l’ange me dit : « Ecris : Heureux ceux qui sont invités au festin des noces de l’Agneau! » Et il ajouta : « Ces paroles sont les véritables paroles de Dieu. » (ch. 19)

« Et le diable, leur séducteur, fut jeté dans l’étang de feu et de soufre, où sont la bête et le faux prophète, et ils seront tourmentés jour et nuit aux siècles des siècles. Puis je vis un grand trône éclatant de lumière et Celui qui était assis dessus; devant sa face la terre et le ciel s’enfuirent et il ne fut plus trouvé de place pour eux. Et je vis les morts, grands et petits, debout devant le trône. Des livres furent ouverts ; on ouvrit encore un autre livre, qui est le livre de la vie; et les morts furent jugés, d’après ce qui était écrit dans ces livres, selon leurs œuvres. La mer rendit ses morts ; la Mort et l’Enfer rendirent les leurs ; et ils furent jugés chacun selon ses œuvres. Puis la Mort et l’Enfer furent jetés dans l’étang de feu : – c’est la seconde mort, l’étang de feu. Quiconque ne fut pas trouvé inscrit dans le livre de la vie fut jeté dans l’étang de feu. (ch. 20)

« Et je vis un nouveau ciel et une nouvelle terre ; car le premier ciel et la première terre avaient disparu, et il n’y avait plus de mer. Et je vis descendre du ciel, d’auprès de Dieu, la ville sainte, une Jérusalem nouvelle, vêtue comme une nouvelle mariée parée pour son époux. Et j’entendis une voix forte qui disait : « Voici le tabernacle de Dieu avec les hommes : il habitera avec eux, et ils seront son peuple ; et lui-même il sera le Dieu avec eux, il sera leur Dieu. Et Dieu essuiera toute larme de leurs yeux, et la mort ne sera plus, et il n’y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur, car les premières choses ont disparu. » Et Celui qui était assis sur le trône, dit : « Voici que je fais toutes choses nouvelles. » Et il ajouta : « Ecris, car ces paroles sont sûres et véritables. » Puis il me dit : « C’est fait ! Je suis l’alpha et l’oméga, le commencement et la fin. A celui qui a soif, je donnerai gratuitement de la source de l’eau de la vie. Celui qui vaincra possédera ces choses ; je serai son Dieu et il sera mon fils. Mais pour les lâches, les incrédules, les abominables les meurtriers, les impudiques, les magiciens, les idolâtres et tous les menteurs, leur part est dans l’étang ardent de feu et de soufre : c’est la seconde mort. » (ch. 21)

« Et l’ange me dit : « Ces paroles sont certaines et véritables ; et le Seigneur, le Dieu des esprits des prophètes, a envoyé son ange pour montrer à ses serviteurs les choses qui doivent arriver bientôt. Voici que je viens bientôt. Heureux celui qui garde les paroles de la prophétie de ce livre ! »… Et voici que je viens bientôt, et ma rétribution est avec moi, pour rendre à chacun selon son œuvre. Je suis l’alpha et l’oméga, le premier et le dernier, le commencement et la fin. Heureux ceux qui lavent leurs robes, afin d’avoir droit à l’arbre de la vie, et afin d’entrer dans la ville par les portes ! Dehors les chiens, les magiciens, les impudiques, les meurtriers, les idolâtres, et quiconque aime le mensonge et s’y adonne !… Celui qui atteste ces choses, dit : « Oui, je viens bientôt. » Amen ! Venez, Seigneur Jésus ! Que la grâce du Seigneur Jésus-[Christ] soit avec [vous] tous! [Amen!] (ch. 22)

Instruction sur le mariage par dialogue d’une Mère à sa Fille & Lettre de Paule à Pauline sa fille : Textes présentés par l’Abbé O. Rioult

Au XVIIe siècle, un ecclésiastique de Lyon publiait, en deux volumes, de manière agréable, succincte et profonde, la plus pure synthèse de l’Écriture, de la Tradition, du magistère de l’Église et de la théologie sur le mariage où remarques psychologiques, conseils pratiques et vérités graves s’harmonisaient admirablement.

La réédition en un seul volume de ces deux écrits, introuvables de nos jours, représente non seulement un événement éditorial, mais encore culturel, littéraire et spirituel. Contrairement à de nombreux ouvrages de qualité médiocre qui vieillissent mal, ceux-là sont restés de dignes témoins du génie français et chrétien, puisque son auteur, quoiqu’anonyme, a laissé une œuvre majeure qui surclasse toutes celles du genre. Si l’orthographe a été modernisée, le style, lui, n’a point été touché, tant il est éloquent.

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TALMUD, Voyage au bout de la nuit de Juda le Prince aux éditions Saint-Agobard, avec Préface de l’Abbé Rioult et Postface du Pape Innocent IV

Le Talmud est le Livre des juifs. Il a été « le moule de l’âme juive, le créateur de la race » selon Bernard Lazare. Quand les rabbins le comparent à la Bible, celle-ci n’est que de l’eau ; mais celui-là est un vin précieux. Selon le Rav Ron Chaya, la célèbre compilation du Talmud, Shulhan ‘Arukh [la Table dressée], quoique « sensée être facile », et pourtant « extrêmement compliquée » vu les très nombreuses « lois qui gèrent les juifs », n’en est pas moins « beaucoup plus poussée que toutes les lois qui existent dans le monde entier… » En Israël, la loi oblige chaque ville à disposer d’un tribunal rabbinique dont les juges sont payés par l’État. Grâce au Talmud, ces sages en Israël possèdent une science profonde, comme Rabbi Yohanane enseignant que « le pénis de Nabuchodonosor s’est allongé de trois cents coudées » ; donnent de sages conseils, tels ces docteurs assurant « l’homme » qu’il « peut user de sa femme de la façon qu’il lui plaît… comme un morceau de viande que l’on peut manger rôti, bouilli ou cuit sur la braise » ; et prennent d’importantes décisions à l’exemple du philosophe Maïmonide, pour qui « les rapports charnels d’un garçon de neuf ans et un jour ont une signification légale mais en dessous de cet âge, ils n’en ont pas… »

Étonnamment, cette loi juive parle beaucoup de nous, les goyim, les non-juifs… Le Talmud contient en effet des « préceptes égoïstes, féroces et nationaux dirigés contre les étrangers » concède Bernard Lazare : « Ce mot goy renferme toutes les haines d’Israël contre l’étranger ». Là où le Christ était venu « détruire le mur de séparation entre les Juifs et les nations pour les réunir dans un même royaume spirituel », le Talmud, rêvant obstinément d’un royaume charnel et terrestre, est venu rebâtir ce mur en cultivant chez Israël « son fol orgueil de peuple privilégié et sa haine contre les Gentils. »

Pour saint Jérôme le Talmud est rempli de « fables honteuses » et « de puérilités ridicules ». Pour Mgr Freppel, outre ses « folles imaginations », il recèle « l’ouvrage le plus abominable qui soit sorti de la main des hommes » et aussi une « casuistique qui étouffe tous les sentiments d’humanité qui mérite plus de pitié que d’indignation. » Quand ce livre fut bien connu, il suscita beaucoup d’indignation. Au cours de l’histoire, un nombre incalculable d’exemplaires furent livrés aux flammes par des rois, comme saint Louis en 1242, par des papes, comme Paul IV (1555-1559) et, fait remarquable, les plus zélés à poursuivre leur destruction étaient des juifs convertis.

Si vous voulez mieux connaître ce formidable Talmud, son rejeton (la Cabale), et sa cousine germaine musulmane (la Sunna), ce livre est pour vous. Il est le fruit d’un travail persévérant de Juda le prince. Un goy qui a presque tout lu : le Talmud de Jérusalem et celui de Babylone, Maïmonide, le Zohar et ses épigones, la Sira et les hadiths, les commentaires des commentaires… Plus de 30.000 pages dont l’essentiel, après avoir été publié en articles pour le journal Rivarol, vous est livré aujourd’hui en un seul volume. Cet ouvrage vous permettra de découvrir ce que les auteurs du Talmud auraient préféré que vous ne sachiez jamais…

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Du divorce, par Louis de Bonald, Entre polygamie républicaine et prostitution légale : Un fléau social – Textes présentés et annotés par l’Abbé O. Rioult, aux éditions Saint-Agobard

Au début du XIXe siècle en France, la Révolution n’a vraiment reculé que sur un seul point : la question du divorce. Cette victoire fut l’œuvre d’un homme : Monsieur de Bonald. On lui doit en effet d’avoir, un temps, effacé de notre code cette loi destructrice de la famille. Devant la supériorité de son talent, il avait été alors plus facile de l’injurier que de le contredire.
À la tribune, il ne parlait pas : il pensait raisonnablement et clairement. Et pourtant son discours si juste surprendra aussi bien les gauchistes que les réactionnaires, les progressistes que les conservateurs. Pour les chrétiens mêmes, ses réflexions seront une épreuve… Car lire de Bonald ce n’est pas seulement retrouver « la grandeur de Bossuet, la profondeur de Pascal, la finesse de La Bruyère », c’est aussi se confronter à la liberté d’un esprit sain et sans compromis avec les erreurs du temps.

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De la question juive – Synthèse par l’abbé O. Rioult

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Selon Isaac Bashevis Singer, « un Juif c’est quelqu’un qui, n’arrivant pas à trouver le sommeil, empêche tout le monde de s’endormir. » Pour aider le juif à retrouver un sommeil paisible et pour protéger celui des autres, il fallait remonter aux origines du mal-être juif, analyser ses manifestations et en faire la synthèse. Le résultat est sidérant et une fois de plus la réalité dépasse la fiction.

Appuyée sur des faits indéniables, fondée par des citations autorisées donnant la parole aux juifs comme aux non-juifs et justifiée par des milliers de références, cette étude donne une synthèse de la Question juive aussi complète et précise que possible. Tous les points importants ont été traités, sans haine, sans faiblesse et sans tabou : de la crucifixion du Christ à la Synagogue de Satan, du Talmud aux droits de l’homme, des marranes aux Khazars, du trafic d’esclaves à l’usure banquière, du ghetto au sionisme, du communisme au noachisme, de la névrose suicidaire à l’hystérie médiatique, de l’espérance messianique au projet mondialiste, du culte de Mammon à l’adoration d’Israël, de la haine des non-juifs au génocide des nations… Deux mille ans d’histoire chaotique qui ont abouti “au siècle juif” qui, selon la formule d’un propagandiste, a vu les juifs devenir « les chouchous de l’Histoire ».
Mais, malgré ce triomphe apparent, quantité de juifs restent torturés. Ils sentent au fond d’eux-mêmes « une immense solitude », ils souffrent d’« angoisses » et sont obsédés par « des questionnements absurdes liés à la culpabilité… » Pour nombre d’entre eux, « être juif constitue un problème qui n’a pas de réponse… » Et pourtant cette réponse nous avait déjà été donnée dès le 1er siècle par l’apôtre Jean dans son Apocalypse.
La solution était là, sous nos yeux, mais on l’avait oubliée ou négligée. Ce livre n’est donc qu’une redécouverte qui éclairera par ailleurs toute la justesse de l’assertion johannique au niveau historique, théologique, philosophique, politique, moral, économique, ethnique, psychologique et eschatologique. Cette étude aura aussi le mérite de nous faire comprendre pourquoi, pour le bien et la paix de tous, des juifs comme des non-juifs, l’évêque de Linz, Mgr Gfoellner, affirmait : « combattre et briser la pernicieuse influence du judaïsme est pour tout chrétien sincère non seulement un droit légitime, mais un impérieux devoir de conscience. »

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La double multiplication des pains par l’abbé O. Rioult

Les Évangiles rapportent que Jésus fit une première multiplication de cinq pains pour nourrir cinq mille personnes et une deuxième avec sept pains pour quatre mille personnes.

Les mêmes Évangiles rapportent que, constatant l’inintelligence des apôtres face aux mystères qu’Il venait d’accomplir, Jésus leur fit ces reproches :
« Votre cœur est-il aveuglé ? Ne comprenez-vous pas encore ? »
Deux mille ans après, notre cœur est-il plus clairvoyant ? Avons-nous vraiment compris ce que le divin Maître a fait et pourquoi il l’avait fait ?

Le présent opuscule espère venir en aide aux intelligences de bonne volonté en leur dévoilant, à la suite des Pères de l’Église, la beauté, la bonté et la sagesse cachées dans ces deux divines multiplications. Car comme le remarquait saint Augustin :
« Dès lors, en effet, que le Christ est le Verbe de Dieu, son action même est pour nous une véritable parole. Puisque ce miracle, dont nous avons entendu le récit, nous paraît si grand, cherchons à en saisir l’étonnante signification. Ne nous arrêtons pas à sa surface, essayons d’en mesurer la profondeur, car le prodige extérieur que nous admirons
a une signification cachée et mystérieuse. Si nous apercevions, quelque part, une belle écriture, nous ne nous bornerions pas à louer le talent de l’écrivain, qui aurait tracé des lettres si belles, à tel point égales, et pareilles les unes aux autres ; nous les lirions aussi pour en connaître le sens. Ainsi doit-il en être de cet événement qui nous apparaît si merveilleux.
»

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DU MEPRIS DE LA MORT – Textes de Démétrios Kydonès, saints Augustin, Thomas d’Aquin et Grégoire de Nysse sur la mort, la sépulture et le deuil présentés par l’Abbé Olivier Rioult aux éditions saint-Agobard


La mort est le grand tabou de notre époque qui, par une loi non écrite, a jeté son interdit sur elle. Car si le monde techno-industriel sait prolonger la vie des malades, il ne sait pas les aider à mourir.
La majorité des hommes craignent la mort comme le plus grand des maux. Mais n’est-ce pas là une peur irrationnelle semblable à celle de l’enfant qui juge de la bonté des choses selon son plaisir ou son déplaisir ?
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