En cette fête du 7 octobre où l’Église célèbre Notre-Dame du Saint Rosaire, la sapiniere.info invite ses lecteurs à se procurer le dernier livre de Pierre Hillard :
https://www.thebookedition.com/fr/comprendre-l-empire-loubavitch-p-409702.html

En guise d’introduction et pour mieux saisir l’intérêt capital de ce livre, nous conseillons l’audition d’un remarquable entretien entre Monsieur K et Gregor Ovitch sur cette « petite communauté pas nombreuse qui un intérêt pour nous parce qu’elle ne fait pas de politique » (dixit Alain Soral). Il s’agit du Bouchet double XI,  Habad underground : https://noach.es/2024/06/04/bouchet-double-xi/

Plus le temps passe, plus l’histoire approche de sa fin et de son dénouement. Et comme le dit l’Apocalypse de saint Jean : « Que celui qui est injuste fasse encore le mal ; que l’impur se souille encore ; que le juste pratique encore la justice, et que le saint se sanctifie encore. Et voici que je viens bientôt, et ma rétribution est avec moi, pour rendre à chacun selon son œuvre. Je suis l’alpha et l’oméga, le premier et le dernier, le commencement et la fin. Heureux ceux qui lavent leurs robes, afin d’avoir droit à l’arbre de la vie, et afin d’entrer dans la ville par les portes ! Dehors les chiens, les magiciens, les impudiques, les meurtriers, les idolâtres, et quiconque aime le mensonge et s’y adonne ! » (Apo 22,11-15)
Ce « monde entier plongé dans le mal » (I Jn 5,19) se moque de Dieu et récoltera ce qu’il a semé… Le Christ nous a prévenu : ce sera Dieu ou Mammon : « Vous ne pouvez servir Dieu et la Richesse. Nul ne peut servir deux maîtres : car ou il haïra l’un et aimera l’autre, ou il s’attachera à l’un et méprisera l’autre. » (Mt 6,24)
En 1881, le chanoine Arminjon, missionnaire apostolique, écrivait ces lignes au sujet du règne de l’Antéchrist :
« Lorsque la foi chrétienne aura achevé de s’éteindre dans les cœurs, lorsque la jouissance et le bien-être seront devenus les dieux du jour et l’exclusive préoccupation des âmes, alors l’activité humaine n’aura plus qu’un seul but, la puissance de l’État, qu’un seul ressort et un seul stimulant, l’opinion publique, qu’un souffle et un moteur, et ce stimulant, ce nerf, ce moteur, ce sera l’or. L’or primera la religion et la morale, il deviendra la base de la politique et la clef de voûte de toutes les institutions, les financiers seront les pontifes et les rois. Et le peuple qui possédera le plus d’or sera celui qui nous possédera plus prochainement […]. Or, voilà qu’[un peuple] est mêlé à toute la famille humaine, toujours debout, toujours à la recherche de son Messie, rêvant la reconstruction de son temple […]. Or, il n’y a pas un siècle que ce peuple est émancipé, et comme un torrent qui a rompu toutes ses digues, il est déjà à la tête des affaires humaines. Né d’hier à la vie civile et politique, il domine partout, et sans lui on ne peut rien faire dans le monde. […] Le libéralisme moderne, par son vain sentimentalisme et ses faux principes égalitaires, a contribué plus que toutes les autres erreurs à amener cette prépondérance et ce débordement de l’influence judaïque dont les peuples européens s’effraient avec raison […]. Il est d’expérience, en effet, que partout où le juif s’établit et prédomine, il devient despote, tyran, dévastateur. C’est pourquoi en lui refusant les droits politiques et civils, dont il aurait abusé, et dont il abuse partout où la richesse l’a rendu le maître, la loi canonique lui accordait la tolérance et par ces sages mesures, également profitables à leurs intérêts et à leurs personnes, les juifs se sont trouvés durant des siècles, non seulement protégés, mais défendus contre la haine universelle, l’effervescence et l’exaspération des populations aveuglées. » (Fin du Monde présent et mystères de la vie future, 1881, Of. de Lisieux, 1970, pp. 62-72)